La mise en place de la nouvelle réglementation thermique 2000 devrait renforcer le développement du marché de la régulation et de la gestion technique du bâtiment. En 2000, ce marché aura atteint un chiffre d'affaires de 1 793 millions de francs, réalisant une progression de 5% par rapport à 1999.
En 1999, une étude menée par l'Association Confort Régulation (qui rassemble 11 sociétés représentant 80% du marché) estimait le marché de la régulation et de la gestion technique du bâtiment à 1 710 millions de francs. En 2000, toujours selon l'ACR, ce marché a atteint 1 793 millions de francs, ce qui correspond à une croissance de l'ordre de près de 5%.
A l'origine de ces bons résultats, on trouve le segment de marché de la régulation de chauffage (individuel et collectif). Avec 726 MF de CA, ce segment enregistre une croissance supérieure à 6%.
Comme pour le marché du bâtiment en général, il faut reconnaître ce domaine a bénéficié d'une conjoncture favorable avec les lois Périssol et Besson qui ont eu un effet positifs sur le marché des thermostats d'ambiance programmables et des programmateurs de chauffage électrique, ainsi que la baisse de la TVA qui a été ressentie positivement par le négoce et les installateurs. A noter pour le chauffage résidentiel individuel, une bonne progression des ventes de TAP numériques livrés d'origine et des délesteurs électriques.
En revanche, le marché de la ventilation et de la climatisation (440 MF) ne progresse pas dans les mêmes proportions, même si avec 2,3% le sous-marché met un terme aux baisses successives de son chiffre d'affaires (-13% en 1998 et -2% en 1999). La reprise du tertiaire a bien eu un effet positif sur le volume des produits commercialisés mais la chute du prix des fonctions, plus accentuée encore, associée à des installations plus petites et moins sophistiquées, fait que la croissance ne se retrouve que faiblement dans le chiffre d'affaires total.
Enfin, le marché de la gestion technique du bâtiment (426 MF) a connu une croissance proche de 5%. Visiblement, les actions de protection des systèmes lors du passage à l'an 2000 ont généré une prise de conscience de la part des clients de la nécessité de moderniser les réseaux. Quant aux installations nouvelles, elles restent stables à l'image des installations de plus de 300 points (qui représentent 75% du marché). Seuls les systèmes de moins de 300 points enregistrent une progression. A noter que, dans ce domaine, les services sont évalués à 201 MF. Ils enregistrent une croissance de 6% qui fait suite aux 10% exceptionnels de 1999.
A l'origine de ces bons résultats, on trouve le segment de marché de la régulation de chauffage (individuel et collectif). Avec 726 MF de CA, ce segment enregistre une croissance supérieure à 6%.
Comme pour le marché du bâtiment en général, il faut reconnaître ce domaine a bénéficié d'une conjoncture favorable avec les lois Périssol et Besson qui ont eu un effet positifs sur le marché des thermostats d'ambiance programmables et des programmateurs de chauffage électrique, ainsi que la baisse de la TVA qui a été ressentie positivement par le négoce et les installateurs. A noter pour le chauffage résidentiel individuel, une bonne progression des ventes de TAP numériques livrés d'origine et des délesteurs électriques.
En revanche, le marché de la ventilation et de la climatisation (440 MF) ne progresse pas dans les mêmes proportions, même si avec 2,3% le sous-marché met un terme aux baisses successives de son chiffre d'affaires (-13% en 1998 et -2% en 1999). La reprise du tertiaire a bien eu un effet positif sur le volume des produits commercialisés mais la chute du prix des fonctions, plus accentuée encore, associée à des installations plus petites et moins sophistiquées, fait que la croissance ne se retrouve que faiblement dans le chiffre d'affaires total.
Enfin, le marché de la gestion technique du bâtiment (426 MF) a connu une croissance proche de 5%. Visiblement, les actions de protection des systèmes lors du passage à l'an 2000 ont généré une prise de conscience de la part des clients de la nécessité de moderniser les réseaux. Quant aux installations nouvelles, elles restent stables à l'image des installations de plus de 300 points (qui représentent 75% du marché). Seuls les systèmes de moins de 300 points enregistrent une progression. A noter que, dans ce domaine, les services sont évalués à 201 MF. Ils enregistrent une croissance de 6% qui fait suite aux 10% exceptionnels de 1999.