La communauté urbaine de Lille a annoncé le 20 décembre le choix de cette architecte pour réaliser l'extension du musée de Villeneuve-d'Ascq sur 2.000 mètres carrés ainsi que la rénovation des parties existantes.
Dans le cadre d'un concours européen de maîtrise d'œuvre pour l'extension et la modernisation du musée d'art moderne de Lille, le jury avait retenu le 12 septembre dernier cinq équipes. C'est finalement celle de l'architecte Manuelle Gautrand qui a été désignée lauréate à l'issue du conseil de communauté du 20 décembre. La décision a été communiquée par Pierre Mauroy, président de la Lille Métropole Communauté Urbaine.
Le bâtiment, construit en articulation de volumes simples, s'étire parallèlement au cours d'eau selon un axe Est-Ouest. Conçu entièrement en brique, le musée s'étend sur une superficie de 7.700 m², au cœur d'un jardin de sculptures lui-même situé en bordure du parc urbain de Villeneuve-d'Ascq, à proximité de Lille. L'enveloppe murale présente une structure animée de nombreux décrochements traités en redents et en casse-gouttes, créant des jeux d'ombres et de lumières. De larges baies vitrées mettent en osmose espaces intérieurs et extérieurs.
" Le jury a étudié l'ensemble des propositions en tenant compte des critères suivants : qualités techniques, esthétiques et fonctionnelles ; adéquation au programme scientifique ; capacité à dialoguer avec l'architecture existante de Roland Simounet ; inscription dans le site (paysage et quartiers environnants) ; compatibilité en terme de phasage des travaux et coûts ", a indiqué le jury.
Le projet de l'architecte Manuelle Gautrand répond aux exigences posées par la conservatrice en chef du musée, Joëlle Pijaudier-Cabot, en proposant une architecture aux formes " souples et organiques ", se déployant dans une continuité spatiale avec le bâtiment existant. Le projet d'extension, de 2.000m² utiles, fait suite à la donation par l'association L'Aracine de sa collection d'art brut. Le projet architectural prévoit également la modernisation des 5.600m² existant.
Après l'ouverture de cet espace, prévue pour 2006 avec un budget prévisionnel de 9,15 millions d'euros, le musée sera le seul, au plan international, à proposer à la fois des collections d'art moderne, d'art contemporain et d'art brut.
Le bâtiment, construit en articulation de volumes simples, s'étire parallèlement au cours d'eau selon un axe Est-Ouest. Conçu entièrement en brique, le musée s'étend sur une superficie de 7.700 m², au cœur d'un jardin de sculptures lui-même situé en bordure du parc urbain de Villeneuve-d'Ascq, à proximité de Lille. L'enveloppe murale présente une structure animée de nombreux décrochements traités en redents et en casse-gouttes, créant des jeux d'ombres et de lumières. De larges baies vitrées mettent en osmose espaces intérieurs et extérieurs.
" Le jury a étudié l'ensemble des propositions en tenant compte des critères suivants : qualités techniques, esthétiques et fonctionnelles ; adéquation au programme scientifique ; capacité à dialoguer avec l'architecture existante de Roland Simounet ; inscription dans le site (paysage et quartiers environnants) ; compatibilité en terme de phasage des travaux et coûts ", a indiqué le jury.
Le projet de l'architecte Manuelle Gautrand répond aux exigences posées par la conservatrice en chef du musée, Joëlle Pijaudier-Cabot, en proposant une architecture aux formes " souples et organiques ", se déployant dans une continuité spatiale avec le bâtiment existant. Le projet d'extension, de 2.000m² utiles, fait suite à la donation par l'association L'Aracine de sa collection d'art brut. Le projet architectural prévoit également la modernisation des 5.600m² existant.
Après l'ouverture de cet espace, prévue pour 2006 avec un budget prévisionnel de 9,15 millions d'euros, le musée sera le seul, au plan international, à proposer à la fois des collections d'art moderne, d'art contemporain et d'art brut.
