Plus de 1.000 personnes ont manifesté samedi dernier à Sarreguemines en Moselle contre le projet de construction d'une centrale thermique au gaz.
Près de 2.000 personnes selon les organisateurs et 1.300 selon la police s'étaient rassemblées samedi dernier à Sarreguemines en Moselle afin de protester contre le projet de construction d'une centrale thermique au gaz dans la même région.
Et même si le commissaire-enquêteur de ce projet a rendu un avis défavorable, «les opposants ont souhaité maintenir la pression sur le préfet», explique Isabelle Hoellinger, porte-parole de l'association de défense contre la pollution de Sarreguemines et environs (ADPSE).
Ainsi, des banderoles portant des slogans comme «Hambach-Copenhague, le grand paradoxe», ou «La santé d'abord» ont été déployées durant cette journée.
Et même si le commissaire-enquêteur de ce projet a rendu un avis défavorable, «les opposants ont souhaité maintenir la pression sur le préfet», explique Isabelle Hoellinger, porte-parole de l'association de défense contre la pollution de Sarreguemines et environs (ADPSE).
Ainsi, des banderoles portant des slogans comme «Hambach-Copenhague, le grand paradoxe», ou «La santé d'abord» ont été déployées durant cette journée.
Il appartient à présent au préfet de la région Lorraine, Bernard Niquet, de prendre une décision définitive sur la construction de la centrale. D'un montant de 550 millions d'euros, ce projet est porté par le fournisseur d'électricité Direct Energie, dont l'actionnaire principal est le groupe Louis Dreyfus.