Conçu par Jean Nouvel et François Fontès, le futur de hôtel de ville de Montpellier prendra la forme d'un grand parallélépipède. Ses façades en aluminium traité par des anodisations aux reflets bleus rappelleront le bleu du ciel et de la méditerranée, couleur emblématique de la ville. Sa livraison est prévue pour septembre 2009.
Situé au coeur au bord du Lez , dans l'axe de Port Marianne, le nouvel hôtel de ville de Montpellier sera entouré d'un parvis de 6.000 m2 et d'un parc public de 4 hectares.
La configuration de ce grand parallélépipède allie grands vides centraux et latéraux, le but étant d'éclairer l'ensemble des bureaux et de permettre à tous les occupants de bénéficier d'une vue particulière.
Recouvert de façades en aluminium, le bâtiment disposera de plusieurs niveaux d'entrée : le niveau du parvis dit rez-de-chaussée bas, le niveau des toitures des bâtiments qui encadrent le parvis et le rez-de-chaussée haut.
Inscrit dans une démarche de développement durable, l'édifice mettra en synergie les préoccupations énergétiques et le choix des matériaux. Ses toitures coulissantes dotées de cellules photovoltaïques permettront par exemple de fournir à elles seules 10 à 20% des besoins en électricité. Ainsi, en hiver ou lors de fortes chaleurs, les patios, véritables puits de lumière, se couvriront.
A noter d'autre part que chaque façade disposera d'une typologie de baies et de protection solaires différentes selon son orientation : volets en projection, volets fixes avec lames orientables, protections solaires horizontales..
Les travaux devraient débuter dès novembre 2006 pour une durée de 34 mois. Le coût global de l'opération s'élève à 107 millions d'euros.
La configuration de ce grand parallélépipède allie grands vides centraux et latéraux, le but étant d'éclairer l'ensemble des bureaux et de permettre à tous les occupants de bénéficier d'une vue particulière.
Recouvert de façades en aluminium, le bâtiment disposera de plusieurs niveaux d'entrée : le niveau du parvis dit rez-de-chaussée bas, le niveau des toitures des bâtiments qui encadrent le parvis et le rez-de-chaussée haut.
Inscrit dans une démarche de développement durable, l'édifice mettra en synergie les préoccupations énergétiques et le choix des matériaux. Ses toitures coulissantes dotées de cellules photovoltaïques permettront par exemple de fournir à elles seules 10 à 20% des besoins en électricité. Ainsi, en hiver ou lors de fortes chaleurs, les patios, véritables puits de lumière, se couvriront.
A noter d'autre part que chaque façade disposera d'une typologie de baies et de protection solaires différentes selon son orientation : volets en projection, volets fixes avec lames orientables, protections solaires horizontales..
Les travaux devraient débuter dès novembre 2006 pour une durée de 34 mois. Le coût global de l'opération s'élève à 107 millions d'euros.
