Dubaï a décidé de créer un nouveau quartier à l'image de Lyon avec des places publiques, des musées, des restaurants et des terrasses. Cet ensemble baptisé Lyon-Dubaï City devrait nécessiter un investissement de 500 millions d'euros.
Des institutions gastronomiques, culturelles, sportives, des terrasses, des musées sur 3 à 400 hectares inspirés de Lyon, tel devrait être le visage de Lyon-Dubaï City, un nouveau quartier qui devrait voir le jour d'ici 2012 à Dubaï.
L'idée vient d'un entrepreneur de Dubaï qui s'est montré particulièrement intéressé par la capitale des Gaules lors d'une visite concernant projet d'université francophone dans l'émirat.
«Il ne s'agit pas de reproduire les bâtiments et de faire un Lyon en carton-pâte mais de restituer une atmosphère urbaine avec des lieux culturels et des boutiques au coeur de la ville, des transports en commun, une mixité sociale, des rues et des ruelles», a expliqué l'urbaniste en charge du projet Jean-Paul Lebas avant d'ajouter : « il n'y aura pas de bâtiments Haussmann, pas de reproduction de Fourvière ou du quartier Saint Jean, mais une façon d'organiser la ville à l'européenne».
Ce quartier prévoit également la construction d'une école hôtelière de l'institut Paul Bocuse, une université francophone délivrant des masters de mode, droit international ou sciences économiques, des branches du musée des Tissus ou du musée des Beaux-arts de Lyon, une cinémathèque animée par l'Institut Lumière ou encore un centre de formation animé par l'Olympique lyonnais.
Buti Saeed Al Gandhi, président de la société de capital investissement Emivest et initiateur du projet, doit signer mercredi prochain à Lyon le protocole d'accord entre le Grand Lyon et la ville de Dubaï.
Le montant de l'opération «Lyon-Dubaï City» devrait s'élever au minimum à 500 millions d'euros.
L'idée vient d'un entrepreneur de Dubaï qui s'est montré particulièrement intéressé par la capitale des Gaules lors d'une visite concernant projet d'université francophone dans l'émirat.
«Il ne s'agit pas de reproduire les bâtiments et de faire un Lyon en carton-pâte mais de restituer une atmosphère urbaine avec des lieux culturels et des boutiques au coeur de la ville, des transports en commun, une mixité sociale, des rues et des ruelles», a expliqué l'urbaniste en charge du projet Jean-Paul Lebas avant d'ajouter : « il n'y aura pas de bâtiments Haussmann, pas de reproduction de Fourvière ou du quartier Saint Jean, mais une façon d'organiser la ville à l'européenne».
Ce quartier prévoit également la construction d'une école hôtelière de l'institut Paul Bocuse, une université francophone délivrant des masters de mode, droit international ou sciences économiques, des branches du musée des Tissus ou du musée des Beaux-arts de Lyon, une cinémathèque animée par l'Institut Lumière ou encore un centre de formation animé par l'Olympique lyonnais.
Buti Saeed Al Gandhi, président de la société de capital investissement Emivest et initiateur du projet, doit signer mercredi prochain à Lyon le protocole d'accord entre le Grand Lyon et la ville de Dubaï.
Le montant de l'opération «Lyon-Dubaï City» devrait s'élever au minimum à 500 millions d'euros.
