Véritable éléments du paysage, les ailes du bâtiment se déploient sur un axe est-ouest, tandis que les locaux sont orientés nord-sud, desservis par une rue intérieure, véritable espace bioclimatique, coiffée d'une verrière et ventilé par un puits canadien.
Celui-ci, d'une capacité de 28.000 m3/h (l'un des plus grands en France, nous confie Jean-Michel Buron), tempère l'air extérieur pour réguler la température de l'atrium de manière passive en intersaison. Cet air est également exploité en saison chaude pour les CTA, ainsi qu'en saison froide pour les pompes à chaleur de production d'eau chaude et de chauffage. En outre, 730 m2 de piles photovoltaïques, produisant 126.6 kWc, assure la compensation énergétique.