La Maison du Grand-duché de Luxembourg présente l'exposition «Architectes - frontaliers ?» jusqu'au 29 mars, dans ses locaux bruxellois. Une vingtaine d'architectes luxembourgeois y sont invités à explorer le concept d'architecture en tant qu'expérience et «discipline créant un espace et des frontières». Découvrez-en un avant-goût en images.
La Maison du Grand-duché de Luxembourg présente jusqu'au 29 mars, dans ses locaux, l'exposition «Architectes - frontaliers ?». Initiée par la Fondation de l'architecture et de l'ingénierie au Luxembourg, l'exposition a déjà été présentée à Sarrelouis (Allemagne du sud-ouest) sous le titre «Architecture aux frontières» ainsi qu'à la Fondation de l'architecture et de l'ingénierie à Luxembourg. Conçue à partir de l'idée de frontières, l'exposition développe un concept qui rompt avec le cadre des expositions traditionnelles, travaillant avec des projets, des dessins et des modèles à deux dimensions.
Les 21 cabinets d'architectes luxembourgeois invités à participer à l'exposition disposent chacun d'un «volume virtuel avec une enveloppe théorique». Délimité par une surface de base de 58x78 et une hauteur de 198,5 centimètres, ce volume découle de la surface d'une euro-palette. Deux travaux doivent pouvoir y être placés pour être transportés à l'aide d'un diable. Itinérante, l'exposition est ainsi facilement démontable et transportable. Dans ce volume, «les architectes peuvent concrétiser leurs idées, leurs projets et leurs visions de l'architecture», explique René Witry, lui-même architecte et curateur de l'exposition.
«L'exposition thématise la frontière, en tant qu'architecture ainsi que comme expérience dans des zones frontalières géographiques, politiques et idéologiques. L'architecture, qui apparaît comme une discipline créant un espace et des frontières, se révèle être elle-même une discipline frontalière entre les sciences naturelles, l'art et l'économie, entre la technique, l'écologie, la psychologie et la politique», poursuit-il.
La maison : «une enveloppe»
L'exposition veut montrer que l'architecture peut constituer «un événement exceptionnel». En effet, dans l'histoire de l'humanité, elle est arrivée tardivement, et n'a pas touché de la même façon toutes les cultures. Elle est née avec le début de la sédentarisation : «l'époque où les hommes ont découvert la construction des maisons». Chaque architecte prolonge aujourd'hui cette démarche : «il découpe un morceau d'espace, le modèle et lui donne une structure, une forme et un ordre», note René Witry.
Pour lui, «l'architecture, c'est donc délimiter, découper, insérer, avec pour résultat une maison : l'enveloppe. Le mode de construction détermine ainsi la manière dont l'être humain vit - comment il se sent à l'intérieur, dans le logement, et à l'extérieur, dans l'espace urbain. Les architectes devraient toujours songer que leur activité contribue directement et dans une large mesure à définir l'existence de l'être humain, afin d'améliorer sa qualité de vie et le motiver».
Cliquez ici pour voir des photos de l'exposition.
Les 21 cabinets d'architectes luxembourgeois invités à participer à l'exposition disposent chacun d'un «volume virtuel avec une enveloppe théorique». Délimité par une surface de base de 58x78 et une hauteur de 198,5 centimètres, ce volume découle de la surface d'une euro-palette. Deux travaux doivent pouvoir y être placés pour être transportés à l'aide d'un diable. Itinérante, l'exposition est ainsi facilement démontable et transportable. Dans ce volume, «les architectes peuvent concrétiser leurs idées, leurs projets et leurs visions de l'architecture», explique René Witry, lui-même architecte et curateur de l'exposition.
«L'exposition thématise la frontière, en tant qu'architecture ainsi que comme expérience dans des zones frontalières géographiques, politiques et idéologiques. L'architecture, qui apparaît comme une discipline créant un espace et des frontières, se révèle être elle-même une discipline frontalière entre les sciences naturelles, l'art et l'économie, entre la technique, l'écologie, la psychologie et la politique», poursuit-il.
La maison : «une enveloppe»
L'exposition veut montrer que l'architecture peut constituer «un événement exceptionnel». En effet, dans l'histoire de l'humanité, elle est arrivée tardivement, et n'a pas touché de la même façon toutes les cultures. Elle est née avec le début de la sédentarisation : «l'époque où les hommes ont découvert la construction des maisons». Chaque architecte prolonge aujourd'hui cette démarche : «il découpe un morceau d'espace, le modèle et lui donne une structure, une forme et un ordre», note René Witry.
Pour lui, «l'architecture, c'est donc délimiter, découper, insérer, avec pour résultat une maison : l'enveloppe. Le mode de construction détermine ainsi la manière dont l'être humain vit - comment il se sent à l'intérieur, dans le logement, et à l'extérieur, dans l'espace urbain. Les architectes devraient toujours songer que leur activité contribue directement et dans une large mesure à définir l'existence de l'être humain, afin d'améliorer sa qualité de vie et le motiver».
Cliquez ici pour voir des photos de l'exposition.
Architectes - frontaliers'
Du 29 février au 29 mars
Du lundi au samedi - 10h à 17h
Maison du Grand-duché de Luxembourg
75, Avenue de Cortenbergh, B-1000 Bruxelles
www.fondarch.lu
Du 29 février au 29 mars
Du lundi au samedi - 10h à 17h
Maison du Grand-duché de Luxembourg
75, Avenue de Cortenbergh, B-1000 Bruxelles
www.fondarch.lu