La mairie de Sainte-Livrade-sur-Lot a annoncé mercredi que l'agence nationale de rénovation urbaine (Anru) financera à 100% les travaux de démolition et 80% des études de réhabilitation du Centre d'accueil des Français d'Indochine (Cafi).
Créé en 1956 pour accueillir les rapatriés d'Indochine, le Centre d'accueil des Français d'Indochine (Cafi) avait besoin d'une véritable réhabilitation ! «Il s'agit de 26 barres de logements qui avaient été construites pour l'armée en 1939, puis transformées en logements en 1956 pour accueillir les Français d'Indochine», explique Marthe Geoffroy adjointe au maire de cette commune de 5.900 habitants en charge du dossier. Avant d'ajouter : «Ces bâtiments sont complètement hors normes et délabrés».
«Nous espérons débuter les premières constructions à la fin de l'année», a donc indiqué Marthe Geoffroy. D'un montant total compris entre 10 et 16 millions d'euros, les travaux devraient s'achever en 2011. Les travaux de démolition, estimés à 500.000 euros devraient ainsi débuter d'ici deux semaines.
Actuellement, le Cafi compte 130 résidents permanents et une cinquantaine occasionnels, des «Français d'Indochine» de la première génération et leur descendance.
Après la mort le 31 décembre dernier d'une résidente de 87 ans dans un incendie, le collectif d'association de soutien au Cafi, avait dénoncé la vétusté des logements ainsi que le dysfonctionnement de la bouche principale d'incendie. Il avait porté plainte contre X pour homicide involontaire le 26 janvier.
«Nous espérons débuter les premières constructions à la fin de l'année», a donc indiqué Marthe Geoffroy. D'un montant total compris entre 10 et 16 millions d'euros, les travaux devraient s'achever en 2011. Les travaux de démolition, estimés à 500.000 euros devraient ainsi débuter d'ici deux semaines.
Actuellement, le Cafi compte 130 résidents permanents et une cinquantaine occasionnels, des «Français d'Indochine» de la première génération et leur descendance.
Après la mort le 31 décembre dernier d'une résidente de 87 ans dans un incendie, le collectif d'association de soutien au Cafi, avait dénoncé la vétusté des logements ainsi que le dysfonctionnement de la bouche principale d'incendie. Il avait porté plainte contre X pour homicide involontaire le 26 janvier.