L’étude annuelle «European cities monitor» réalisée par le cabinet Cushman & Wakefield classe Londres, Paris et Francfort à la tête des villes d’Europe les plus attractives pour l’implantation des entreprises européennes. Découvrez le classement de ces villes.
Londres, Paris, Francfort. «European cities monitor», l’étude annuelle menée par le cabinet Cushman & Wakefield, dévoile la liste des villes d’Europe les plus attractives pour les 500 entreprises européennes les plus importantes.
L’étude montre que Barcelone, Amsterdam et Bruxelles arrivent respectivement en quatrième, cinquième et sixième place du classement des métropoles attractives dans le futur choix d’implantation des entreprises européennes. Les entreprises ont été interrogées sur les villes d’Europe les plus attractives selon 12 critères tels que le coût de la main d’œuvre, le climat économique ou encore la qualité des infrastructures. Londres reste en tête avec une confortable avance sur Paris. Les points forts de la capitale britannique sont l’accessibilité aux marchés, la qualité des infrastructures de transports, la qualité des réseaux de télécommunications et la facilité de recruter du personnel qualifié. Ce dernier critère est considéré par 62% des entreprises interrogées comme le plus important.
Cap à l’Est
Le cabinet rappelle cependant que le sondage a été réalisé juste avant l’été et sa crise des subprimes. Il sera donc intéressant de connaître l’état d’esprit des dirigeants d’entreprises plusieurs mois après les événements, «sachant que la part des activités financières est beaucoup plus grande à Londres et Francfort qu’à Paris». Par ailleurs, les métropoles de l’Est séduisent aussi : plus de 43% des entreprises déclarent envisager de s’installer à Moscou, Prague, Varsovie, Bucarest ou Budapest avant 2012. Ces villes s’imposent notamment dans les critères de coût de la main d’œuvre et de rapport entre la qualité de l’offre et le coût de l’immobilier.
Les langues, point faible de la France
Parmi les critères qui desservent Paris aux yeux des investisseurs, on trouve le manque de capacités linguistiques (la ville se classe au 5e rang), et le «climat économique créé par le gouvernement», facteur pour lequel Paris n’est qu’à la 15e place. A noter, la progression de Lyon qui passe de la 24e à la 17e place des villes les plus attractives. La capitale des Gaules est notamment appréciée pour le rapport qualité de l’offre/coût de l’immobilier.
L’étude montre que Barcelone, Amsterdam et Bruxelles arrivent respectivement en quatrième, cinquième et sixième place du classement des métropoles attractives dans le futur choix d’implantation des entreprises européennes. Les entreprises ont été interrogées sur les villes d’Europe les plus attractives selon 12 critères tels que le coût de la main d’œuvre, le climat économique ou encore la qualité des infrastructures. Londres reste en tête avec une confortable avance sur Paris. Les points forts de la capitale britannique sont l’accessibilité aux marchés, la qualité des infrastructures de transports, la qualité des réseaux de télécommunications et la facilité de recruter du personnel qualifié. Ce dernier critère est considéré par 62% des entreprises interrogées comme le plus important.
Cap à l’Est
Le cabinet rappelle cependant que le sondage a été réalisé juste avant l’été et sa crise des subprimes. Il sera donc intéressant de connaître l’état d’esprit des dirigeants d’entreprises plusieurs mois après les événements, «sachant que la part des activités financières est beaucoup plus grande à Londres et Francfort qu’à Paris». Par ailleurs, les métropoles de l’Est séduisent aussi : plus de 43% des entreprises déclarent envisager de s’installer à Moscou, Prague, Varsovie, Bucarest ou Budapest avant 2012. Ces villes s’imposent notamment dans les critères de coût de la main d’œuvre et de rapport entre la qualité de l’offre et le coût de l’immobilier.
Les langues, point faible de la France
Parmi les critères qui desservent Paris aux yeux des investisseurs, on trouve le manque de capacités linguistiques (la ville se classe au 5e rang), et le «climat économique créé par le gouvernement», facteur pour lequel Paris n’est qu’à la 15e place. A noter, la progression de Lyon qui passe de la 24e à la 17e place des villes les plus attractives. La capitale des Gaules est notamment appréciée pour le rapport qualité de l’offre/coût de l’immobilier.
