Interviewé jeudi par le quotidien anglais Daily Telegraph, le président du Comité international olympique (CIO), Jacques Rogge, a défendu les organisateurs des Jeux de Londres en 2012 en affirmant qu'ils étaient «en avance» dans leur préparation sur toutes les villes hôtes précédentes.
Ces derniers temps, l'organisation des Jeux de Londres est la cible de virulentes critiques en Grande-Bretagne après l'annonce de l'explosion des coûts de l'organisation.
Des inquiétudes apparues sur des retards dans la construction des infrastructures, sur les conséquences des JO pour les habitants du quartier où ils doivent se tenir ou encore sur l'importante pollution du sol sur le site.
Chassant tout cela, Jacques Rogge a manifesté jeudi sa confiance en l'organisation des britanniques. «D'après tous les rapports que je reçois, à l'issue de la période initiale de deux ans, Londres est devant toutes les villes hôtes que nous avons eues par le passé. Cela inclut Pékin», a déclaré le président du CIO au Daily Telegraph. «Pékin est maintenant presque prêt ce qui signifie qu'ils ont fait un travail fantastique depuis deux ans. Nous sommes à un an des Jeux. Je crois que je pourrai répéter ça en 2011, car Londres progresse extrêmement bien», a poursuivi le président du CIO.
Des inquiétudes apparues sur des retards dans la construction des infrastructures, sur les conséquences des JO pour les habitants du quartier où ils doivent se tenir ou encore sur l'importante pollution du sol sur le site.
Chassant tout cela, Jacques Rogge a manifesté jeudi sa confiance en l'organisation des britanniques. «D'après tous les rapports que je reçois, à l'issue de la période initiale de deux ans, Londres est devant toutes les villes hôtes que nous avons eues par le passé. Cela inclut Pékin», a déclaré le président du CIO au Daily Telegraph. «Pékin est maintenant presque prêt ce qui signifie qu'ils ont fait un travail fantastique depuis deux ans. Nous sommes à un an des Jeux. Je crois que je pourrai répéter ça en 2011, car Londres progresse extrêmement bien», a poursuivi le président du CIO.