Le cabinet Loiselet et Daigrement a démenti dans un communiqué diffusé mercredi une information du mensuel «60 millions de consommateurs», selon laquelle ce syndic de copropriété pratique des prix bien supérieurs aux prix de référence.
A la suite de l'annonce de la publication du «palmarès des abus les plus scandaleux» dans la gestion des syndics de copropriété, de «60 millions de consommateurs» et sa mise en cause, le cabinet Loiselet et Daigrement a souhaité réagir. Dans cette enquête, le mensuel de l'Institut national de la consommation l'accuse notamment de facturer des audits d'ascenseur «1.200 euros» alors que ce type de prestation «peut se négocier autour de 750 euros», selon une dépêche de l'Agence France presse (AFP) parue le même jour. Pour Loiselet et Daigrement, «cette information est totalement contraire à la réalité».
Dans un communiqué diffusé mercredi, le cabinet «s'indigne des informations totalement fausses la concernant», assurant que son contrat accepté par les copropriétaires ne prévoit «aucune rémunération au titre des audits d'ascenseur». Le cabinet se défend en outre sur les prix pratiqués pour ces audits par son prestataire Exxeco, «facturés 450 ? TTC». Un montant «très sensiblement inférieur à ce qui se pratique généralement dans la profession, comme en témoigne le prix de référence cité par l'AFP (...) près de 70% supérieur au prix d'Exxeco».
Dans un communiqué diffusé mercredi, le cabinet «s'indigne des informations totalement fausses la concernant», assurant que son contrat accepté par les copropriétaires ne prévoit «aucune rémunération au titre des audits d'ascenseur». Le cabinet se défend en outre sur les prix pratiqués pour ces audits par son prestataire Exxeco, «facturés 450 ? TTC». Un montant «très sensiblement inférieur à ce qui se pratique généralement dans la profession, comme en témoigne le prix de référence cité par l'AFP (...) près de 70% supérieur au prix d'Exxeco».