Selon l'Observatoire francilien de l'immobilier de la FNAIM, les biens mis en vente à Paris et dans le reste de l'Ile-de-France se sont raréfiés au 2ème semestre 2001, avec notamment une véritable pénurie des appartements familiaux (4 pièces et plus) dans la capitale.
A Paris intra-muros, le nombre de mandats pour vendre des appartements a diminué de 9%, avec une chute spectaculaire de 20% pour les 4 pièces et plus, et une baisse plus modérée pour les 2/3 pièces (-4%) et les studios (-9%), selon les chiffres de la Fédération nationale des agents immobiliers (FNAIM).
Cette "situation, déjà soulignée au semestre précédent, de pénurie endémique des stocks nécessite des mesures pour favoriser la libération des fonciers par la SNCF et réduire le nombre de logements vacants", a demandé la FNAIM.
Dans le reste de l'Ile-de-France, la baisse du nombre de mandats a été très forte (-22% en moyenne), avec un recul spectaculaire pour les chambres et studios (-39%) ainsi que les maisons rurales (-40%), mais ce phénomène touche tous les logements avec des réductions de 12% à 19%.
L'observatoire de la FNAIM compile l'activité de 188 cabinets immobiliers, interrogés par voie postale en mars 2002, et représentatifs des quelque 1.244 cabinets immobiliers de la région.
Légère augmentation des prix
Côté prix, les variations sont faibles dans ce marché, avec très peu d'offre. Dans Paris intra-muros, les chambres et studios ont été vendus à 3.415 euros par m2 en moyenne, les 2/3 pièces à 3.354 euros/m2 (en baisse de 4%) et les plus de 4 pièces à 4.284 euros /m2.
"La bonne tenue, voire la légère augmentation des prix, est due aux achats de la clientèle qui, pour des raisons de convenances personnelles, est prête à payer plus cher que le marché", a estimé la FNAIM.
Dans le reste de l'Ile-de-France, les prix ont peu varié, avec une hausse de 4% pour les chambres et studios et une baisse de 7% pour les 2/3 pièces. Les prix des pavillons ont baissé de 8%, mais les maisons rurales et les maisons de caractère ont augmenté de 11%.
Cette "situation, déjà soulignée au semestre précédent, de pénurie endémique des stocks nécessite des mesures pour favoriser la libération des fonciers par la SNCF et réduire le nombre de logements vacants", a demandé la FNAIM.
Dans le reste de l'Ile-de-France, la baisse du nombre de mandats a été très forte (-22% en moyenne), avec un recul spectaculaire pour les chambres et studios (-39%) ainsi que les maisons rurales (-40%), mais ce phénomène touche tous les logements avec des réductions de 12% à 19%.
L'observatoire de la FNAIM compile l'activité de 188 cabinets immobiliers, interrogés par voie postale en mars 2002, et représentatifs des quelque 1.244 cabinets immobiliers de la région.
Légère augmentation des prix
Côté prix, les variations sont faibles dans ce marché, avec très peu d'offre. Dans Paris intra-muros, les chambres et studios ont été vendus à 3.415 euros par m2 en moyenne, les 2/3 pièces à 3.354 euros/m2 (en baisse de 4%) et les plus de 4 pièces à 4.284 euros /m2.
"La bonne tenue, voire la légère augmentation des prix, est due aux achats de la clientèle qui, pour des raisons de convenances personnelles, est prête à payer plus cher que le marché", a estimé la FNAIM.
Dans le reste de l'Ile-de-France, les prix ont peu varié, avec une hausse de 4% pour les chambres et studios et une baisse de 7% pour les 2/3 pièces. Les prix des pavillons ont baissé de 8%, mais les maisons rurales et les maisons de caractère ont augmenté de 11%.