La réunion des sociétés d'économie mixte est l'occasion de faire le point sur le décret du 3 mars 2001 relatif au logement social dans les DOM.
La première semaine de l'Outre-mer organisée par la fédération des sociétés mixtes (FNSEM) se tient actuellement à Charenton-le-Pont près de Paris.
Elle est l'occasion pour Christian Paul, secrétaire d'Etat à l'Outre-Mer de rappeler les priorités du gouvernement en matière de logement social, dans les DOM, deux mois après la réforme du 3 mars visant à rendre la politique du logement social plus efficace. Les procédures sont depuis lors simplifiées puisque l'aide de l'Etat est versée directement sous forme de subvention aux organismes de logements sociaux. " Ces améliorations devront permettre une relance de la construction de logements sociaux " selon le secrétaire d'Etat s'adressant aux représentants des SEM. " Je souhaite que cette disposition soit rapidement utilisée pour que chaque société puisse disposer d'un portefeuille foncier suffisant permettant d'anticiper la programmation de logements sociaux " reprend-t-il.
Les SEM dites " ultra-marines " sont au nombre de 76 et leur chiffre d'affaires s'élève à près de 7 milliards de francs annuels. Elles interviennent dans des domaines divers : transports, finance, agro-alimentaire mais leur domaine de prédilection est l'immobilier. Elles gèrent les 2/3 du parc social d'Outre-Mer et mettent en chantier 3.000 logements chaque année. D'après la FNSEM, " le rôle d'entraînement des SEM est donc moteur dans le domaine de l'habitat, principal pôle de la vie économique en Outre-Mer " dans un cadre local " préoccupant ". Différentes séances de travail aborderont la " capacité de performance et d'innovation des SEM dans la coopération régionale, les projets urbains, l'habitat, la qualité, la communication et les transports ".
Elle est l'occasion pour Christian Paul, secrétaire d'Etat à l'Outre-Mer de rappeler les priorités du gouvernement en matière de logement social, dans les DOM, deux mois après la réforme du 3 mars visant à rendre la politique du logement social plus efficace. Les procédures sont depuis lors simplifiées puisque l'aide de l'Etat est versée directement sous forme de subvention aux organismes de logements sociaux. " Ces améliorations devront permettre une relance de la construction de logements sociaux " selon le secrétaire d'Etat s'adressant aux représentants des SEM. " Je souhaite que cette disposition soit rapidement utilisée pour que chaque société puisse disposer d'un portefeuille foncier suffisant permettant d'anticiper la programmation de logements sociaux " reprend-t-il.
Les SEM dites " ultra-marines " sont au nombre de 76 et leur chiffre d'affaires s'élève à près de 7 milliards de francs annuels. Elles interviennent dans des domaines divers : transports, finance, agro-alimentaire mais leur domaine de prédilection est l'immobilier. Elles gèrent les 2/3 du parc social d'Outre-Mer et mettent en chantier 3.000 logements chaque année. D'après la FNSEM, " le rôle d'entraînement des SEM est donc moteur dans le domaine de l'habitat, principal pôle de la vie économique en Outre-Mer " dans un cadre local " préoccupant ". Différentes séances de travail aborderont la " capacité de performance et d'innovation des SEM dans la coopération régionale, les projets urbains, l'habitat, la qualité, la communication et les transports ".