La communauté urbaine de Lille doit cette année choisir un quartier qu'elle compte entièrement réhabiliter selon les critères de développement durable. Une première en France pour un ensemble de plus de 10.000 habitants, selon l'institution.
Lille joue la carte du développement durable ! Cet «écoquartier pilote» fait partie des 90 actions qui devraient être adoptées vendredi par la communauté urbaine dans le cadre de son «Agenda 21», par référence au «programme d'action 21» (pour le XXIe siècle) décidé lors du sommet de la Terre de Rio en 1992, a indiqué sa responsable Astrid Scharly.
Concrètement il s'agit de «construire dans la métropole (lilloise) un morceau de ville, laboratoire d'innovations environnementales, qui intégrera tous les principes de développement durable en matière d'urbanisme, de déplacements, de résidus urbains, pour un cadre de vie agréable et convivial, a précisé Astrid Scharly.
Le chantier prioritaire porte sur la lutte contre le réchauffement climatique avec un programme d'économie d'énergie, concernant à 50% les particuliers, 30% les collectivités et 20% les entreprises.
La communauté urbaine lilloise n'en est pas à sa première expérience en matière de développement durable. Elle a en effet déjà testé de nombreux micro-projets en ce sens qui ont démontré que toutes les actions prévues par l'agenda 21 «étaient réalisables et seront réalisées».
La communauté urbaine compte s'appuyer sur les différentes associations pour que toutes les couches sociales soient sensibilisées «à l'urgence du développement durable», selon Astrid Scharly.
Concrètement il s'agit de «construire dans la métropole (lilloise) un morceau de ville, laboratoire d'innovations environnementales, qui intégrera tous les principes de développement durable en matière d'urbanisme, de déplacements, de résidus urbains, pour un cadre de vie agréable et convivial, a précisé Astrid Scharly.
Le chantier prioritaire porte sur la lutte contre le réchauffement climatique avec un programme d'économie d'énergie, concernant à 50% les particuliers, 30% les collectivités et 20% les entreprises.
La communauté urbaine lilloise n'en est pas à sa première expérience en matière de développement durable. Elle a en effet déjà testé de nombreux micro-projets en ce sens qui ont démontré que toutes les actions prévues par l'agenda 21 «étaient réalisables et seront réalisées».
La communauté urbaine compte s'appuyer sur les différentes associations pour que toutes les couches sociales soient sensibilisées «à l'urgence du développement durable», selon Astrid Scharly.
