La commission chargée du développement économique de Lille métropole (communauté urbaine) a présenté vendredi un projet foncier ayant pour objectif d'aménager 1.000 hectares supplémentaires de sites économiques en 10 ans.
La communauté urbaine dispose actuellement de 300 hectares susceptibles d'accueillir des entreprises et son rythme moyen de consommation est de 50 à 80 hectares par an, a précisé Martine Aubry, vice-présidente de la communauté urbaine.
Pour augmenter son parc économique, la commission chargée du développement économique envisage de développer des parcs d'activité de grande taille, dont le potentiel est estimé à 800 hectares. Elle compte aussi requalifier des friches (potentiel de 170 hectares) et puiser dans les zones économiques d'intérêt local inscrites au Plan local d'urbanisme (potentiel de 300 hectares).
Outre l'aspect quantitatif, la métropole lilloise table sur l'accessibilité et une haute qualité environnementale pour assurer l'attractivité de ces nouveaux espaces fonciers.
Le développement de ces espaces et leur mise progressive sur le marché doit se faire en partenariat avec les acteurs privés et la chambre de commerce et d'industrie, a indiqué Martine Aubry.
Le financement de ce projet s'élève à 20 millions d'euros par an sur les dix ans, soit environ 2,5 % du budget investissement de la communauté urbaine.
Pour augmenter son parc économique, la commission chargée du développement économique envisage de développer des parcs d'activité de grande taille, dont le potentiel est estimé à 800 hectares. Elle compte aussi requalifier des friches (potentiel de 170 hectares) et puiser dans les zones économiques d'intérêt local inscrites au Plan local d'urbanisme (potentiel de 300 hectares).
Outre l'aspect quantitatif, la métropole lilloise table sur l'accessibilité et une haute qualité environnementale pour assurer l'attractivité de ces nouveaux espaces fonciers.
Le développement de ces espaces et leur mise progressive sur le marché doit se faire en partenariat avec les acteurs privés et la chambre de commerce et d'industrie, a indiqué Martine Aubry.
Le financement de ce projet s'élève à 20 millions d'euros par an sur les dix ans, soit environ 2,5 % du budget investissement de la communauté urbaine.
