La campagne d’information et de concertation sur le projet de liaison ferroviaire entre Bordeaux et Hendaye a été lancée mercredi à Bordeaux par la Commission nationale du débat public. Trois options de trajet sont offertes.
Le projet de LGV entre Bordeaux et la frontière espagnole entame une nouvelle étape. «Du 30 août au 29 décembre», la Commission particulière du débat public (CPDP) animera un «débat large et ouvert, sans a priori» avec tous les acteurs concernés –associations, élus, agents économiques, habitants– dans les départements de la Gironde, des Landes et des Pyrénées-Atlantiques, a indiqué le président de la CNDP, Yves Mansillon, lors d'une conférence de presse.
Pour rappel, la LGV s’arrête aujourd’hui à Tours. D’ici à 2016, son prolongement devrait permettre de relier Paris à Bordeaux en deux heures. Dans la foulée, il est prévu la construction d’une ligne entre Bordeaux et Hendaye, tronçon qui devrait voir le jour à l'horizon 2020.
L'objectif du débat est d'établir «l'opportunité du projet [de LGV Bordeaux-Espagne, ndlr], puis éventuellement le doublement de la ligne actuelle ou la création d'une ligne nouvelle» à grande vitesse, selon Christian Maudet, de Réseau ferré de France (RFF), maître d'ouvrage. Car, en effet, trois scénarios de trajet sont en lice : le doublement de la ligne existante, la création d’une ligne suivant au plus près l’A63 et l’A10, qui relient Bordeaux à Bayonne par l’ouest des Landes ; ou une ligne nouvelle passant par l’est des Landes. Selon l’option qui sera retenue, le montant du projet varie de 2,2 à 4,3 Md€
Une fois les débats terminés, la Commission disposera de deux mois pour rédiger son compte-rendu et RFF de trois mois supplémentaires pour faire connaître la suite qu'il compte donner au projet.
Rappelons que ce projet vise à relier les réseaux ferroviaires français et espagnol, après les mises en service de la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique jusqu'à Bordeaux en 2016 et de la nouvelle ligne entre Vitoria et Irun (nord de l'Espagne) en 2013.
Pour rappel, la LGV s’arrête aujourd’hui à Tours. D’ici à 2016, son prolongement devrait permettre de relier Paris à Bordeaux en deux heures. Dans la foulée, il est prévu la construction d’une ligne entre Bordeaux et Hendaye, tronçon qui devrait voir le jour à l'horizon 2020.
L'objectif du débat est d'établir «l'opportunité du projet [de LGV Bordeaux-Espagne, ndlr], puis éventuellement le doublement de la ligne actuelle ou la création d'une ligne nouvelle» à grande vitesse, selon Christian Maudet, de Réseau ferré de France (RFF), maître d'ouvrage. Car, en effet, trois scénarios de trajet sont en lice : le doublement de la ligne existante, la création d’une ligne suivant au plus près l’A63 et l’A10, qui relient Bordeaux à Bayonne par l’ouest des Landes ; ou une ligne nouvelle passant par l’est des Landes. Selon l’option qui sera retenue, le montant du projet varie de 2,2 à 4,3 Md€
Une fois les débats terminés, la Commission disposera de deux mois pour rédiger son compte-rendu et RFF de trois mois supplémentaires pour faire connaître la suite qu'il compte donner au projet.
Rappelons que ce projet vise à relier les réseaux ferroviaires français et espagnol, après les mises en service de la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique jusqu'à Bordeaux en 2016 et de la nouvelle ligne entre Vitoria et Irun (nord de l'Espagne) en 2013.
