A l'issue d'une séance plénière jeudi, le conseil régional de Rhône-Alpes a rappelé l'«urgence» de demander à l'Union européenne l'octroi de 200 millions d'euros «indispensables» au lancement des travaux de la ligne à grande vitesse Lyon-Turin.
Les gouvernements français et italien doivent remettre avant le 20 juillet leur demande de financement à l'Union européenne.
Dans ce cadre, le conseil régional de Rhône-Alpes demande «solennellement et avec insistance» au gouvernement «de respecter sa signature» et qu'un «financement européen à hauteur de 50% pour les études et de 20% pour les travaux dans la partie française, sur la période 2007-2013, soit sollicité auprès de la Commission européenne», soit environ 200 millions d'euros. Cette demande est «essentielle» pour que parallèlement aux travaux du tunnel de base «puissent démarrer les travaux sur les accès avant 2013», ajoute-t-il.
La liaison ferroviaire à grande vitesse Lyon-Turin, dont le coût total est estimé à 12,5 milliards d'euros, ne devrait pas être achevée avant 2020. Les travaux côté français doivent débuter en 2009-2010, pour une livraison en 2015.
Dans ce cadre, le conseil régional de Rhône-Alpes demande «solennellement et avec insistance» au gouvernement «de respecter sa signature» et qu'un «financement européen à hauteur de 50% pour les études et de 20% pour les travaux dans la partie française, sur la période 2007-2013, soit sollicité auprès de la Commission européenne», soit environ 200 millions d'euros. Cette demande est «essentielle» pour que parallèlement aux travaux du tunnel de base «puissent démarrer les travaux sur les accès avant 2013», ajoute-t-il.
La liaison ferroviaire à grande vitesse Lyon-Turin, dont le coût total est estimé à 12,5 milliards d'euros, ne devrait pas être achevée avant 2020. Les travaux côté français doivent débuter en 2009-2010, pour une livraison en 2015.