Le rachat du groupe français d'appareillage électrique Legrand, en cours de fusion avec Schneider Electric, aurait été trop "cher" pour Siemens, a indiqué le patron du groupe électrotechnique allemand, au quotidien La Tribune.
"On aurait pu se mettre sur les rangs. Nous n'avons pas retenu cette option car nous savions que le prix d'achat pour Legrand serait cher. Or, nous ne souhaitons pas investir de fortes sommes dans ce secteur", a déclaré Heinrich von Pierer, Pdg du groupe Siemens.
Concernant la fusion Schneider-Legrand, Siemens avait démenti la semaine dernière toute intervention auprès des services de la concurrence de la Commission européenne pour contrer ce projet. Le groupe allemand "n'a pas du tout porté un regard négatif sur cette fusion", avait indiqué à l'AFP le PDG de Siemens France, Michel Robin.
Si elle devait se réaliser, Siemens "pourrait être intéressé, en particulier en France, par le rachat de tel ou tel morceau d'activité" que Schneider et Legrand devraient céder pour satisfaire aux exigences de la Commission européenne, avait ajouté M. Robin.
Concernant la fusion Schneider-Legrand, Siemens avait démenti la semaine dernière toute intervention auprès des services de la concurrence de la Commission européenne pour contrer ce projet. Le groupe allemand "n'a pas du tout porté un regard négatif sur cette fusion", avait indiqué à l'AFP le PDG de Siemens France, Michel Robin.
Si elle devait se réaliser, Siemens "pourrait être intéressé, en particulier en France, par le rachat de tel ou tel morceau d'activité" que Schneider et Legrand devraient céder pour satisfaire aux exigences de la Commission européenne, avait ajouté M. Robin.
