En 2003, le secteur de la construction a connu une contraction de 0,4% en volume mais devrait croître de 2% en 2004, selon des chiffres publiés mercredi par le ministère de l'Equipement et des Transports.
"Contre toute attente, l'année 2003 s'est caractérisée par un net rebond de l'activité au dernier trimestre qui a permis au secteur de résister globalement au ralentissement, avec un fléchissement limité à 0,4% en volume", affirme le ministère.
L'activité a été soutenue dans les travaux publics (+2,9%) et les construction de logements neufs (+1,5%) et négative dans celle de bâtiments non résidentiels (-5,6%) et dans le secteur de l'entretien (-1%), précise le communiqué.
Pour 2004, le ministère prévoit une croissance de la construction "autour de 2%", soit une production qui pourrait atteindre 133,6 milliards d'euros contre 127 mds EUR en 2003 (en euros courants), ajoute le document.
L'activité des travaux publics devrait croître de 1,5% en volume.
La construction de logements neufs devrait bondir de 5,9% et 330.000 logements mis en chantier en 2004, "soit un niveau qui n'avait pas été atteint depuis plus de vingt ans et qui pour la première fois est supérieur aux besoins en logements neufs estimés par l'INSEE à 320.000 unités", poursuit le ministère.
Le secteur des bâtiments non résidentiels devrait connaître en 2004 "une certaine stabilité, voire une légère hausse grâce aux bâtiments publics".
En revanche, l'activité concernant les bureaux et bâtiments industriels devrait reculer, "sauf accélération de la reprise économique dont les premiers signes se font sentir depuis peu".
L'activité d'entretien-amélioration devrait progresser de 0,7%, "confortée par la décision du gouvernement de proroger la TVA à 5,5% pour les travaux dans les logements".
Sur la base des prévisions du ministère, 20.000 emplois pourraient être créés en 2004, contre 18.000 en 2003 selon l'INSEE. Les besoins en recrutement de ce secteur s'élèvent chaque année à 150.000 personnes, note le communiqué.
L'activité a été soutenue dans les travaux publics (+2,9%) et les construction de logements neufs (+1,5%) et négative dans celle de bâtiments non résidentiels (-5,6%) et dans le secteur de l'entretien (-1%), précise le communiqué.
Pour 2004, le ministère prévoit une croissance de la construction "autour de 2%", soit une production qui pourrait atteindre 133,6 milliards d'euros contre 127 mds EUR en 2003 (en euros courants), ajoute le document.
L'activité des travaux publics devrait croître de 1,5% en volume.
La construction de logements neufs devrait bondir de 5,9% et 330.000 logements mis en chantier en 2004, "soit un niveau qui n'avait pas été atteint depuis plus de vingt ans et qui pour la première fois est supérieur aux besoins en logements neufs estimés par l'INSEE à 320.000 unités", poursuit le ministère.
Le secteur des bâtiments non résidentiels devrait connaître en 2004 "une certaine stabilité, voire une légère hausse grâce aux bâtiments publics".
En revanche, l'activité concernant les bureaux et bâtiments industriels devrait reculer, "sauf accélération de la reprise économique dont les premiers signes se font sentir depuis peu".
L'activité d'entretien-amélioration devrait progresser de 0,7%, "confortée par la décision du gouvernement de proroger la TVA à 5,5% pour les travaux dans les logements".
Sur la base des prévisions du ministère, 20.000 emplois pourraient être créés en 2004, contre 18.000 en 2003 selon l'INSEE. Les besoins en recrutement de ce secteur s'élèvent chaque année à 150.000 personnes, note le communiqué.