Présidente d'Optimum, société familiale de portes de placard coulissantes, et PDG de l'Ifop, Laurence Parisot a été élue mardi matin à la tête de l'organisation patronale dès le premier tour. Elle succède à Ernest-Antoine Seillière.
A 45 ans, Laurence Parisot devient la première femme à la présidence du Medef. Elue à 271 voix à l'Assemblée générale (alors que la majorité requise est de 255 voix), elle était notamment soutenue par les fédérations du BTP, comme la FFB ou la FNTP.
Laurence Parisot a dit souhaiter «construire un vrai dialogue social, avec des syndicats forts, constructifs et représentatifs, en phase avec une Europe sociale qui se construit». Et d'affirmer qu'il «faut sortir d'un face-à-face crispé avec un Etat omnipotent».
Elle a également pris trois engagements : «faire aimer l'économie de marché», «concentrer les efforts sur les PME» et «ouvrir le Medef à la société civile».
Diplômée de l'Institut d'Etudes Politiques de Paris, Laurence Parisot a débuté sa carrière en 1983 au Cevipof (Centre d'études de la vie politique française). Outre la direction de l'institut de sondage Ifop, elle est également présidente d'Optimum, société qu'elle a reprise en 2002 suite à la mort de son père.
Laurence Parisot a dit souhaiter «construire un vrai dialogue social, avec des syndicats forts, constructifs et représentatifs, en phase avec une Europe sociale qui se construit». Et d'affirmer qu'il «faut sortir d'un face-à-face crispé avec un Etat omnipotent».
Elle a également pris trois engagements : «faire aimer l'économie de marché», «concentrer les efforts sur les PME» et «ouvrir le Medef à la société civile».
Diplômée de l'Institut d'Etudes Politiques de Paris, Laurence Parisot a débuté sa carrière en 1983 au Cevipof (Centre d'études de la vie politique française). Outre la direction de l'institut de sondage Ifop, elle est également présidente d'Optimum, société qu'elle a reprise en 2002 suite à la mort de son père.
