Le préfet de région Midi-Pyrénées a lancé lundi devant quelque 250 élus locaux le débat sur l'avenir de l'aéroport de Toulouse-Blagnac en présentant les études réalisées dans le cadre du contrat de plan Etat-Région 2000-2006.
Les études réalisées en 2001 et 2002 par les cabinets ADPi, Bipe, Imtrans et Ienair englobent plusieurs solutions de réaménagements des plateformes existantes ou de constructions de nouveaux aéroports pour faire face au doublement attendu du trafic de Toulouse-Blagnac d'ici à 2015, soit 10 millions de passagers contre 5,25 millions en 2000 et 140.000 à 160.000 mouvements d'avions par an contre 100.000 actuellement.
Selon les documents transmis aux participants, la solution la plus efficace serait de créer un nouvel aéroport à une trentaine de kilomètres de Toulouse prenant le relais du trafic commercial de Toulouse-Blagnac, plutôt que redistribuer une partie des trafics vers des petits aéroports périphériques de la région ou de créer un nouvel aéroport commun à Toulouse et Bordeaux près de Tonneins (Lot-et-Garonne).
Les études évoquent huit sites techniquement possibles pour le futur aéroport de Toulouse et en privilégient quatre: trois au nord de Toulouse, proches de l'axe du futur TGV Paris-Bordeaux-Toulouse, un quatrième à 50 km au sud de Toulouse.
Le préfet Hubert Fournier a indiqué que les débats ce lundi avec les élus, puis mardi avec les professionnels de l'aviation et mercredi avec les associations permettraient de préparer le débat public prévu en 2004.
Selon les documents transmis aux participants, la solution la plus efficace serait de créer un nouvel aéroport à une trentaine de kilomètres de Toulouse prenant le relais du trafic commercial de Toulouse-Blagnac, plutôt que redistribuer une partie des trafics vers des petits aéroports périphériques de la région ou de créer un nouvel aéroport commun à Toulouse et Bordeaux près de Tonneins (Lot-et-Garonne).
Les études évoquent huit sites techniquement possibles pour le futur aéroport de Toulouse et en privilégient quatre: trois au nord de Toulouse, proches de l'axe du futur TGV Paris-Bordeaux-Toulouse, un quatrième à 50 km au sud de Toulouse.
Le préfet Hubert Fournier a indiqué que les débats ce lundi avec les élus, puis mardi avec les professionnels de l'aviation et mercredi avec les associations permettraient de préparer le débat public prévu en 2004.
