Le groupe - qui a dégagé en 2003 un bénéfice net en hausse de 59,6% à 728 millions d'euros - prévoit "une croissance sur les marchés émergents et plus particulièrement sur les marchés asiatiques".
La forte augmentation du bénéfice 2003 reflète "principalement l'incidence de la provision exceptionnelle de 300 millions d'euros passée en 2002", a expliqué le groupe.
Pour 2004, Lafarge table sur une croissance soutenue du résultat d'exploitation courant, hors effet de change.
"Nous voyons pour 2004 une poursuite des tendances générales de 2003", a précisé Bernard Kasriel, directeur général du groupe, lors d'une conférence téléphonique.
Le groupe prévoit en particulier "une croissance sur les marchés émergents et plus particulièrement sur les marchés asiatiques", a-t-il expliqué.
Du point de vue de la croissance externe du groupe, Lafarge a expliqué qu'il continuait "sa stratégie de développement, sous forme de projets de croissance de taille petite ou moyenne procurant des rentabilités attrayantes".
Le groupe a enregistré une baisse de 9,3% de son résultat d'exploitation en 2003 à 1,934 milliard d'euros. "Le premier semestre a été exceptionnellement mauvais, avec un environnement énergétique en hausse et chaotique", a commenté
M. Kasriel. La baisse du résultat opérationnel est essentiellement due à l'impact de l'effet de change pour 185 millions d'euros, a encore précisé M. Kasriel.
Le groupe a réduit sa dette en 2003 de 3,2 milliards d'euros à 7,1 milliards d'euros. Hors effet de change et augmentation de capital, la dette a été réduite de 1,2 milliard d'euros; l'objectif pour cette année était de la réduire de 1 milliard, a commenté M. Kasriel.
Pour 2004, Lafarge table sur une croissance soutenue du résultat d'exploitation courant, hors effet de change.
"Nous voyons pour 2004 une poursuite des tendances générales de 2003", a précisé Bernard Kasriel, directeur général du groupe, lors d'une conférence téléphonique.
Le groupe prévoit en particulier "une croissance sur les marchés émergents et plus particulièrement sur les marchés asiatiques", a-t-il expliqué.
Du point de vue de la croissance externe du groupe, Lafarge a expliqué qu'il continuait "sa stratégie de développement, sous forme de projets de croissance de taille petite ou moyenne procurant des rentabilités attrayantes".
Le groupe a enregistré une baisse de 9,3% de son résultat d'exploitation en 2003 à 1,934 milliard d'euros. "Le premier semestre a été exceptionnellement mauvais, avec un environnement énergétique en hausse et chaotique", a commenté
M. Kasriel. La baisse du résultat opérationnel est essentiellement due à l'impact de l'effet de change pour 185 millions d'euros, a encore précisé M. Kasriel.
Le groupe a réduit sa dette en 2003 de 3,2 milliards d'euros à 7,1 milliards d'euros. Hors effet de change et augmentation de capital, la dette a été réduite de 1,2 milliard d'euros; l'objectif pour cette année était de la réduire de 1 milliard, a commenté M. Kasriel.