FINANCEMENT DU TERRORISME. Soupçonné par la justice d'avoir maintenu ses activités en Syrie en échange du financement de groupes jihadistes, le cimentier français et sa maison mère Holcim ont demandé lors d'une audience 200 millions d'euros de réparation pour préjudice à Bruno Lafont, l'ancien p-dg du groupe de 2007 à 2015. Une action qualifiée de "délirante" par la défense du dirigeant.


C'est un feuilleton qui n'a pas fini de faire couler de l'encre.
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