Présent au salon Intermat, à Paris Villepinte, le premier fabricant japonais d'équipement de construction, Komatsu a renoué avec les bénéfices au cours de l'exercice 2002/2003.
Le groupe, rival du géant américain Caterpillar, a dégagé un bénéfice net de 3 milliards de yens (22,2 millions d'euros) sur la période contre une perte nette de 80,6 milliards de yens sur l'exercice précédent. Le chiffre d'affaires de Komatsu a progressé de 5,2% à 1.089,8 milliards de yens en 2002/03. "Le groupe a redoublé d'efforts pour réduire ses coûts fixes et pour améliorer sa rentabilité", a indiqué Komatsu dans un communiqué.
L'entreprise a néanmoins souligné qu'une partie de ses efforts avait été annulée par ses pertes boursières, "reflétant une chute importante des cours".
Komatsu a précisé que la demande sur les marchés principaux comme le Japon, l'Amérique du Nord et l'Europe avaient continué à se contracter mais que ses ventes et sa production "avaient progressé de façon significative" en Chine et qu'il avait enregistré "des gains importants" en Asie, Océanie, au Proche-Orient et en Afrique.
Tandis que les ventes d'équipements de construction et d'extraction ont augmenté de 5% sur un an à 767,8 milliards de yens, Komatsu a mis en avant le redressement de son activité dans les plaques de silicium (utilisées pour fabriquer les micro-processeurs) qui a débouché sur une hausse de 11% des ventes d'équipements éléctroniques à 85,1 milliards de yens.
Pour l'exercice courant se terminant en mars 2004, Komatsu a prévu une situation de marché difficile en raison de l'épidémie du Syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) en Asie et de la stagnation économique japonaise.
Le groupe a néanmoins indiqué que la demande générée par la reconstruction de l'Irak et les signes de reprise constatées aux Etats-Unis et en Europe contribueraient à une amélioration de ses résultats.
Il prévoit de multiplier pratiquement par quatre son bénéfice net à 11 milliards de yens et table sur un bénéfice avant impôt de 28 milliards (après 12,9 milliards sur 2002/3 et une perte de 106,7 mds en 2001/2) pour un chiffre d'affaires de 1.120 milliards de yens.
L'entreprise a néanmoins souligné qu'une partie de ses efforts avait été annulée par ses pertes boursières, "reflétant une chute importante des cours".
Komatsu a précisé que la demande sur les marchés principaux comme le Japon, l'Amérique du Nord et l'Europe avaient continué à se contracter mais que ses ventes et sa production "avaient progressé de façon significative" en Chine et qu'il avait enregistré "des gains importants" en Asie, Océanie, au Proche-Orient et en Afrique.
Tandis que les ventes d'équipements de construction et d'extraction ont augmenté de 5% sur un an à 767,8 milliards de yens, Komatsu a mis en avant le redressement de son activité dans les plaques de silicium (utilisées pour fabriquer les micro-processeurs) qui a débouché sur une hausse de 11% des ventes d'équipements éléctroniques à 85,1 milliards de yens.
Pour l'exercice courant se terminant en mars 2004, Komatsu a prévu une situation de marché difficile en raison de l'épidémie du Syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) en Asie et de la stagnation économique japonaise.
Le groupe a néanmoins indiqué que la demande générée par la reconstruction de l'Irak et les signes de reprise constatées aux Etats-Unis et en Europe contribueraient à une amélioration de ses résultats.
Il prévoit de multiplier pratiquement par quatre son bénéfice net à 11 milliards de yens et table sur un bénéfice avant impôt de 28 milliards (après 12,9 milliards sur 2002/3 et une perte de 106,7 mds en 2001/2) pour un chiffre d'affaires de 1.120 milliards de yens.