Kaufman & Broad confirme la réunion prochaine de son comité d’entreprise. Selon le quotidien «La Tribune», un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) devrait y être examiné.
Le promoteur immobilier français Kaufman & Broad doit se réunir très bientôt pour tenter de gérer au mieux la crise de sa société. Si le PDG, Guy Nafilyan, s’est refusé à tout commentaire sur cette réunion, nos confrères de la Tribune parlent de la suppression de 166 postes dont 134 licenciements, sur un total d’un peu moins de 800 personnes.
-71,3% de bénéfice net
Le 19 juin dernier Guy Nafilyan avait annoncé une baisse de 71,3% de son bénéfice net et de 6,1% de son chiffre d’affaires sur la première moitié de son exercice (clos fin mai), tout en excluant tout plan social. Un changement de stratégie avait seul été envisagé à l’époque, avec l’abandon de la construction de 15 programmes immobiliers, sur un total de 115 pour toute l’année 2008, et une révision drastique du coût des opérations immobilières.
Depuis, l’aggravation de la crise immobilière a dû obliger le promoteur à réviser sa politique d’emploi. Récemment, d’autres professionnels du secteur ont pâti de la crise comme l’alsacien Brun Habitat qui a été placé en liquidation judiciaire et le Celeos, l’un des plus importants promoteurs immobiliers en Bretagne, en redressement judiciaire.
Lire aussi: «Un promoteur alsacien en péril» et «Le promoteur Celeos en redressement judiciaire»
-71,3% de bénéfice net
Le 19 juin dernier Guy Nafilyan avait annoncé une baisse de 71,3% de son bénéfice net et de 6,1% de son chiffre d’affaires sur la première moitié de son exercice (clos fin mai), tout en excluant tout plan social. Un changement de stratégie avait seul été envisagé à l’époque, avec l’abandon de la construction de 15 programmes immobiliers, sur un total de 115 pour toute l’année 2008, et une révision drastique du coût des opérations immobilières.
Depuis, l’aggravation de la crise immobilière a dû obliger le promoteur à réviser sa politique d’emploi. Récemment, d’autres professionnels du secteur ont pâti de la crise comme l’alsacien Brun Habitat qui a été placé en liquidation judiciaire et le Celeos, l’un des plus importants promoteurs immobiliers en Bretagne, en redressement judiciaire.
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