Un gigantesque chantier de captage deau visant à alimenter la capitale de la Jordanie doit commencer la semaine prochaine. Parallèlement, le pays lance un appel aux dons pour construire une ligne de chemin de fer de plus de 1.000 kilomètres.
Le chantier de captage deau visant à alimenter la capitale de la Jordanie, Amman, sera lancé la semaine prochaine. Il aura pour objectif dextraire 100 millions de mètres cubes chaque année. Dans ce pays constitué à 92% de désert, ces travaux promettent dêtre colossaux. En quatre ans, 55 puits devraient être forés et des installations de stockage installées, pour un coût de près dun milliard de dollars (630 millions deuros).
Un appel aux dons pour un réseau ferré
Ce chantier nest pas le seul envisagé par le pays. La Jordanie recherche six milliards de dollars (3,8milliards deuros) auprès de donateurs internationaux pour construire également une ligne de chemin de fer qui relierait le port dAgaba, dans le sud du pays, à la frontière syrienne.
« Le manque de fonds est le seul problème rencontré dans le projet qui devrait être terminé dici à 2013 », explique le Ministère des Transports. Parmi les marchandises acheminées, le pétrole provenant dIrak devrait avoir une place de choix, même si un oléoduc de plus de 260 millions de dollars (185 millions deuros) est actuellement à létude pour relier les deux pays.
De dix à 30% des besoins de pétrole de la Jordanie devraient dailleurs être fourni par lIrak à tarif préférentiel après le renouvellement, le mois dernier, par le Premier ministre irakien Nouri al-Malaki, d un accord conclu à cet effet il y a deux ans.
Un appel aux dons pour un réseau ferré
Ce chantier nest pas le seul envisagé par le pays. La Jordanie recherche six milliards de dollars (3,8milliards deuros) auprès de donateurs internationaux pour construire également une ligne de chemin de fer qui relierait le port dAgaba, dans le sud du pays, à la frontière syrienne.
« Le manque de fonds est le seul problème rencontré dans le projet qui devrait être terminé dici à 2013 », explique le Ministère des Transports. Parmi les marchandises acheminées, le pétrole provenant dIrak devrait avoir une place de choix, même si un oléoduc de plus de 260 millions de dollars (185 millions deuros) est actuellement à létude pour relier les deux pays.
De dix à 30% des besoins de pétrole de la Jordanie devraient dailleurs être fourni par lIrak à tarif préférentiel après le renouvellement, le mois dernier, par le Premier ministre irakien Nouri al-Malaki, d un accord conclu à cet effet il y a deux ans.