Un non-lieu a été prononcé à l'encontre de l'ancien maire de la capitale dans l'enquête sur les HLM de Paris.
Le juge Armand Riberolles, qui a rendu une ordonnance quasi-conforme aux réquisitions du parquet, a toutefois demandé le renvoi de la majorité de la cinquantaine de personnes mises en examen de ce dossier devant le tribunal correctionnel.
Cette affaire, qui avait été marquée notamment par la convocation de Jacques Chirac en tant que témoin, porte sur des malversations présumées en marge de l'attribution des marchés publics de l'office HLM de la Ville de Paris (OPAC).
Instruite initialement par le juge de Créteil Eric Halphen, elle avait ensuite été confiée au juge parisien Armand Riberolles.
Jean Tiberi a présidé le conseil d'administration de 1979 à 1995. Mis en examen depuis le 28 juin 1999, il a toujours affirmé qu'il ignorait tout des malversations de l'OPAC puisqu'il ne siégeait pas dans la commission d'appel d'offres de l'organisme.
Cette affaire, qui avait été marquée notamment par la convocation de Jacques Chirac en tant que témoin, porte sur des malversations présumées en marge de l'attribution des marchés publics de l'office HLM de la Ville de Paris (OPAC).
Instruite initialement par le juge de Créteil Eric Halphen, elle avait ensuite été confiée au juge parisien Armand Riberolles.
Jean Tiberi a présidé le conseil d'administration de 1979 à 1995. Mis en examen depuis le 28 juin 1999, il a toujours affirmé qu'il ignorait tout des malversations de l'OPAC puisqu'il ne siégeait pas dans la commission d'appel d'offres de l'organisme.