Le ministre délégué à la Ville, en visite en banlieue lyonnaise, a déclaré que la politique de la ville était "la nouvelle priorité du gouvernement" en dépit de la modestie du budget de son ministère.
Pour le ministre de la Ville, "bien que son ministère ait l'un des plus petits budgets de ce gouvernement, la politique de la ville est la nouvelle priorité du gouvernement" depuis le discours prononcé à Troyes par Jacques Chirac.
La semaine dernière, le président de la République s'est en effet prononcé pour un "contrat d'intégration", indiquant avoir "avec le gouvernement trois priorités: la sécurité et le droit dans les cités, la politique de la ville et l'intégration".
Pour illustrer son propos, Jean-Louis Borloo a tracé les grandes lignes du projet de loi de programmation pour le logement social, qui sera examiné par le Conseil des ministres le 30 octobre prochain.
"Il faudra construire plus qu'on ne le fait aujourd'hui, et surtout en même temps que l'on démolit. (...) Il faudra également récupérer 100.000 logements vacants en centre-ville, engager 200.000 réhabilitations lourdes, fixer un taux de remplacement lors de chaque destruction", a-t-il déclaré se contentant d'indiquer que le montant des budgets qui seront alloués à ce projet serait "supérieur à 200 millions d'euros".
La semaine dernière, le président de la République s'est en effet prononcé pour un "contrat d'intégration", indiquant avoir "avec le gouvernement trois priorités: la sécurité et le droit dans les cités, la politique de la ville et l'intégration".
Pour illustrer son propos, Jean-Louis Borloo a tracé les grandes lignes du projet de loi de programmation pour le logement social, qui sera examiné par le Conseil des ministres le 30 octobre prochain.
"Il faudra construire plus qu'on ne le fait aujourd'hui, et surtout en même temps que l'on démolit. (...) Il faudra également récupérer 100.000 logements vacants en centre-ville, engager 200.000 réhabilitations lourdes, fixer un taux de remplacement lors de chaque destruction", a-t-il déclaré se contentant d'indiquer que le montant des budgets qui seront alloués à ce projet serait "supérieur à 200 millions d'euros".