A la suite d'un scandale de falsification de données parasismiques, le parlement japonais a approuvé mercredi une loi qui durcit les critères de certification des architectes pour la construction d'immeubles de grande hauteur.
Selon la nouvelle législation, seuls les architectes justifiant de plus de cinq ans d'expérience pourront prétendre au titre d'architecte de «premier niveau» et obtenir, de ce fait, le droit de concevoir des immeubles d'au moins trois étages d'une hauteur totale de plus de 20 mètres, ou des structures de surface égale ou supérieure à 5.000 mètres carrés. Précédemment, aucune expérience minimale n'était requise.
Cette nouvelle législation devrait entrer en vigueur dans les deux ans, a précisé un responsable du ministère de la Construction.
Ce durcissement intervient après un scandale de falsifications de données parasismiques de résidences et hôtels par un cabinet d'architectes.
Cette nouvelle législation devrait entrer en vigueur dans les deux ans, a précisé un responsable du ministère de la Construction.
Ce durcissement intervient après un scandale de falsifications de données parasismiques de résidences et hôtels par un cabinet d'architectes.