Malgré le litige immobilier opposant la ville de Strasbourg au Parlement européen, Jacques Chirac a assuré vendredi son «ferme engagement à défendre Strasbourg comme capitale européenne» et à y maintenir le siège du Parlement.
Dans un courrier adressé à la maire de Strasbourg, Fabienne Keller, Jacques Chirac l'assure de son «ferme engagement à défendre Strasbourg comme capitale européenne, conformément aux règles du traité dont le respect engage tous les Etats membres et toutes les institutions de l'UE».
Le président français se dit «persuadé que le litige immobilier opposant la ville au Parlement européen pourra être résolu dans la transparence et la sérénité».
De son côté, la ministre déléguée aux Affaires européennes, Catherine Colonna, a assuré dans une lettre suivre avec une extrême attention la négociation pour le rachat par le Parlement européen de deux bâtiments strasbourgeois qu'il loue actuellement «et ses conséquences sur la querelle du siège» du Parlement.
Pour rappel, un litige oppose depuis deux mois la ville de Strasbourg et le Parlement européen sur le montant des loyers perçus par la ville ainsi que sur la vente d'immeubles au Parlement européen. L'affaire a relancé la polémique sur le siège du Parlement européen, fixé à Strasbourg par les traités européens, mais contesté par un nombre grandissant d'eurodéputés qui dénoncent le coût de la transhumance mensuelle de quatre jours de Bruxelles vers la capitale alsacienne.
Le président français se dit «persuadé que le litige immobilier opposant la ville au Parlement européen pourra être résolu dans la transparence et la sérénité».
De son côté, la ministre déléguée aux Affaires européennes, Catherine Colonna, a assuré dans une lettre suivre avec une extrême attention la négociation pour le rachat par le Parlement européen de deux bâtiments strasbourgeois qu'il loue actuellement «et ses conséquences sur la querelle du siège» du Parlement.
Pour rappel, un litige oppose depuis deux mois la ville de Strasbourg et le Parlement européen sur le montant des loyers perçus par la ville ainsi que sur la vente d'immeubles au Parlement européen. L'affaire a relancé la polémique sur le siège du Parlement européen, fixé à Strasbourg par les traités européens, mais contesté par un nombre grandissant d'eurodéputés qui dénoncent le coût de la transhumance mensuelle de quatre jours de Bruxelles vers la capitale alsacienne.