Le président-candidat estime que "le débat public organisé par le gouvernement" sur l'implantation du troisième aéroport de la grande région parisienne "a laissé dans l'ombre de nombreuses questions" et que "c'est un dossier dont le prochain gouvernement devra se saisir".
Dans un entretien au journal l'Union, le président-candidat prend acte de ce que de nombreux Saint-Quentinois "appellent de leurs voeux la réalisation de ce projet" à Chaulnes (Somme). "Mais, observe-t-il, il faut aussi prendre en considération les intérêts de ceux qui seraient amenés à subir directement les nuisances engendrées par un tel équipement".
"Je constate que le débat public organisé par le gouvernement a laissé dans l'ombre de nombreuses questions relatives à l'aménagement du territoire, à l'évolution du trafic aérien et à l'atténuation des nuisances sur les aéroports existants", insiste Jacques Chirac.
"Sans préjuger des solutions à apporter, ajoute-t-il, c'est un dossier dont le prochain gouvernement devra se saisir dès sa formation, en ouvrant le dialogue avec tous les intéressés".
"Je constate que le débat public organisé par le gouvernement a laissé dans l'ombre de nombreuses questions relatives à l'aménagement du territoire, à l'évolution du trafic aérien et à l'atténuation des nuisances sur les aéroports existants", insiste Jacques Chirac.
"Sans préjuger des solutions à apporter, ajoute-t-il, c'est un dossier dont le prochain gouvernement devra se saisir dès sa formation, en ouvrant le dialogue avec tous les intéressés".