Dans l'affaire qui prévoit une absorption de Ciments Français par sa maison mère Italcementi, l'Association de défense des actionnaires minoritaires (Adam) compte obtenir via cette Offre publique de retrait, une sortie en numéraire de la part de l'italien plutôt qu'une seule fusion par échange de titres.
Selon l'AFP, l'Association de défense des actionnaires minoritaires va déposer « dans les premiers jours de mars » auprès de l'Autorité des marchés financiers une argumentation en faveur d'une OPR de la part du groupe italien de matériaux de construction Italcementi pour sa filiale Ciments Français.
La présidente de l'Adam, Colette Neuville, a également déclaré à l'agence de presse que « le règlement de l'AMF prévoit, en cas de fusion, y compris transfrontalière, un examen pour décider s'il y a lieu de procéder à une OPR préalable ». Ainsi, le but de l'Adam est d'obtenir de l'italien « une sortie en numéraire, grâce à une OPR, et pas seulement une fusion par échange de titres, dont la parité est jugée insuffisante ».
La présidente de l'Adam, Colette Neuville, a également déclaré à l'agence de presse que « le règlement de l'AMF prévoit, en cas de fusion, y compris transfrontalière, un examen pour décider s'il y a lieu de procéder à une OPR préalable ». Ainsi, le but de l'Adam est d'obtenir de l'italien « une sortie en numéraire, grâce à une OPR, et pas seulement une fusion par échange de titres, dont la parité est jugée insuffisante ».