L’INSA de Lyon, l’École centrale de Lyon (ECL) et l’université du Tohoku au Japon ont décidé début février, lors d’un colloque lyonnais, de s’unir autour d’un projet de laboratoire commun international de recherche en sciences de l’ingénieur (matériaux, mécanique des fluides et tribologie).
Après de nombreuses années de collaboration entre la France et le Japon, le projet de création d’un laboratoire de recherche internationale va se concrétiser.
Ce partenariat permettra la promotion des synergies entre les compétences déjà existantes au sein des trois établissements, la création des conditions favorables à l’émergence de nouveaux champs de recherche, l’accession à des moyens communs plus performants et à un niveau d’excellence internationale.
Des rapprochements sont évoqués dans les domaines de la durabilité des installations industrielles (production d’énergie, etc) et la prédiction des risques associés, les matériaux biocompatibles, le transport durable, ou encore l’habitat.
Partagé entre les établissements lyonnais et japonais, le laboratoire regroupera tout d’abord une trentaine de chercheurs. « D’autres équipes de recherche japonaises et lyonnaises seraient progressivement associées à ce « noyau dur », créant des synergies entre près de 300 chercheurs en France et 200 au Japon, et constituant ainsi une des toutes premières plates-formes mondiales grâce à une véritable « alliance » entre l’université du Tohoku et les équipes de recherche associées au CNRS de l’ECL et de l’INSA de Lyon », indique l’INSA et l’ECL dans un communiqué commun.
La mise en commun des moyens, des équipes et des plates-formes de recherche est ainsi basée sur des partenariats économiques intercontinentaux. Ce laboratoire permettra également de dynamiser les interactions avec le monde industriel et les acteurs économiques.
Ce partenariat permettra la promotion des synergies entre les compétences déjà existantes au sein des trois établissements, la création des conditions favorables à l’émergence de nouveaux champs de recherche, l’accession à des moyens communs plus performants et à un niveau d’excellence internationale.
Des rapprochements sont évoqués dans les domaines de la durabilité des installations industrielles (production d’énergie, etc) et la prédiction des risques associés, les matériaux biocompatibles, le transport durable, ou encore l’habitat.
Partagé entre les établissements lyonnais et japonais, le laboratoire regroupera tout d’abord une trentaine de chercheurs. « D’autres équipes de recherche japonaises et lyonnaises seraient progressivement associées à ce « noyau dur », créant des synergies entre près de 300 chercheurs en France et 200 au Japon, et constituant ainsi une des toutes premières plates-formes mondiales grâce à une véritable « alliance » entre l’université du Tohoku et les équipes de recherche associées au CNRS de l’ECL et de l’INSA de Lyon », indique l’INSA et l’ECL dans un communiqué commun.
La mise en commun des moyens, des équipes et des plates-formes de recherche est ainsi basée sur des partenariats économiques intercontinentaux. Ce laboratoire permettra également de dynamiser les interactions avec le monde industriel et les acteurs économiques.
