Le futur bâtiment de lInstitut National de lEnergie Solaire (INES) qui sera installé à Chambéry a été dévoilé vendredi. Combinant une architecture spatiale et des performances énergétiques peu gourmandes, lédifice sannonce comme un «manifeste» darchitecture durable, selon ses auteurs.
A loccasion de son déplacement en Savoie, François Fillon a dévoilé aux côté de Jean-Pierre Vial, président du Conseil général de Savoie et des partenaires de lInstitut National de lEnergie Solaire, le projet du futur bâtiment de lINES.
Quoi de plus naturel pour lInstitut de lénergie solaire que dinscrire son futur bâtiment de Chambéry dans une démarche environnementale. En effet, son organisation spatiale vise à démontrer la faisabilité technique dune architecture reposant sur les principes du développement durable : «souplesse et flexibilité des usages, efficacité énergétique, prise en compte des impacts environnementaux, qualité des espaces et confort des usagers».
Au-delà de laspect purement fonctionnel, la recherche de compacité a conditionné le projet. Et ce afin «de limiter au maximum les déperditions de lenveloppe». Larchitecte mandataire Michel Rémon et son associé Frédéric Nicolas ont ainsi conçu «un plan en anneau continu minimisant les développés de la façade». A lintérieur : un atrium apporte un climat particulier avec une lumière et une ambiance intéressantes.
«Energie positive»
La géométrie de ce nouveau bâtiment de lINES doit sinscrire dans le paysage urbain du Technopôle de Chamberry. Par exemple, «les brise-soleil motorisés de la façade Ouest accompagneront le rythme du soleil, comme des tournesols». Lédifice sharmonise ainsi à la course du soleil selon les saisons et «le corps du bâtiment sadresse au sol alors que sa toiture sadresse au ciel et aux vents».
Un concept qui peut sembler complexe pour un bâtiment écologique qui consomme 25Kwh/m² par an pour se chauffer. Cela grâce à 300 m² de capteurs solaires thermiques complétés par une chaudière à granulé de bois, auxquels viennent sajouter 400 m² de cellules photovoltaïques, permettant dobtenir un «bâtiment à énergie positive».
Quoi de plus naturel pour lInstitut de lénergie solaire que dinscrire son futur bâtiment de Chambéry dans une démarche environnementale. En effet, son organisation spatiale vise à démontrer la faisabilité technique dune architecture reposant sur les principes du développement durable : «souplesse et flexibilité des usages, efficacité énergétique, prise en compte des impacts environnementaux, qualité des espaces et confort des usagers».
Au-delà de laspect purement fonctionnel, la recherche de compacité a conditionné le projet. Et ce afin «de limiter au maximum les déperditions de lenveloppe». Larchitecte mandataire Michel Rémon et son associé Frédéric Nicolas ont ainsi conçu «un plan en anneau continu minimisant les développés de la façade». A lintérieur : un atrium apporte un climat particulier avec une lumière et une ambiance intéressantes.
«Energie positive»
La géométrie de ce nouveau bâtiment de lINES doit sinscrire dans le paysage urbain du Technopôle de Chamberry. Par exemple, «les brise-soleil motorisés de la façade Ouest accompagneront le rythme du soleil, comme des tournesols». Lédifice sharmonise ainsi à la course du soleil selon les saisons et «le corps du bâtiment sadresse au sol alors que sa toiture sadresse au ciel et aux vents».
Un concept qui peut sembler complexe pour un bâtiment écologique qui consomme 25Kwh/m² par an pour se chauffer. Cela grâce à 300 m² de capteurs solaires thermiques complétés par une chaudière à granulé de bois, auxquels viennent sajouter 400 m² de cellules photovoltaïques, permettant dobtenir un «bâtiment à énergie positive».
Fiche technique
Début des travaux : 2008
Fin des travaux : 2009
Budget : 15 millions deuros
Maître duvre : SARL Michel Rémon Architecte + Frédéric Nicolas
Maîtres d'ouvrage : Conseil Général de la Savoie
Début des travaux : 2008
Fin des travaux : 2009
Budget : 15 millions deuros
Maître duvre : SARL Michel Rémon Architecte + Frédéric Nicolas
Maîtres d'ouvrage : Conseil Général de la Savoie