Dans le cadre de la visite de Christian Estrosi, ministre de l'Industrie, à Bagdad, des contrats auraient été signé entre la France et l'Irak. Lafarge et Technip seraient les heureux signataires.
En visite officielle dans la capitale irakienne, Christian Estrosi a appelé les entreprises françaises à venir s'implanter en Irak, suite aux menaces du gouvernement de Bagdad de refuser d'accorder des contrats à ceux qui refuseraient de s'y installer.
« Les affaires commerciales avec les Irakiens se traitent d'ici, à Bagdad, et non depuis les capitales avoisinantes », a déclaré le ministre. Ainsi, le groupe cimentier Lafarge a signé un contrat pour la réhabilitation de cimenteries en Irak et le groupe d'ingénierie pour l'industrie pétrolière, Technip, a conclu un accord pour un schéma directeur dans le secteur de la pétrochimie. Pour le moment, aucun montant n'a été dévoilé.
Pour Paris, il s'agit de ne pas passer à côté du marché irakien, alors que le pays, qui recèle les troisièmes réserves mondiales de pétrole, a des besoins de reconstruction estimés à 400 milliards de dollars. Pour autant, les entreprises françaises demeurent prudentes, notamment en raison des conditions de sécurité. « Nous leur offrirons la sécurité et ils n'ont pas besoin de s'installer chez les voisions », a redit récemment le Premier ministre irakien, Nouri al-Maliki.
« Les affaires commerciales avec les Irakiens se traitent d'ici, à Bagdad, et non depuis les capitales avoisinantes », a déclaré le ministre. Ainsi, le groupe cimentier Lafarge a signé un contrat pour la réhabilitation de cimenteries en Irak et le groupe d'ingénierie pour l'industrie pétrolière, Technip, a conclu un accord pour un schéma directeur dans le secteur de la pétrochimie. Pour le moment, aucun montant n'a été dévoilé.
Pour Paris, il s'agit de ne pas passer à côté du marché irakien, alors que le pays, qui recèle les troisièmes réserves mondiales de pétrole, a des besoins de reconstruction estimés à 400 milliards de dollars. Pour autant, les entreprises françaises demeurent prudentes, notamment en raison des conditions de sécurité. « Nous leur offrirons la sécurité et ils n'ont pas besoin de s'installer chez les voisions », a redit récemment le Premier ministre irakien, Nouri al-Maliki.