L'université européenne des métiers de la finition, centre de formation dans les domaines de la peinture, de la façade et des revêtements, a été inaugurée mardi à Créteil (94). L'investissement de cette nouvelle école s'élève à 8,5 millions d'euros.
Ce nouveau centre de formation, qui propose des formations initiale et continue dans les domaines de la peinture, de la façade et des revêtements, va accueillir, dès janvier, 300 stagiaires. En plus de la formation continue des salariés et de l'apprentissage en CAP et Bac professionnel, cette « université » intégrera des filières supérieures telles que le BTS « Aménagement et finition », ainsi qu'une licence professionnelle.
« Face aux difficultés de recrutement dans les métiers du bâtiment, cette université permet une valorisation auprès des jeunes de nos métiers et offre une réponse adaptée aux besoins des entreprises », a indiqué Michel Sénéchal, président de l'université et du Groupement des professionnels européens de la peinture et de la finition (GPPF).
Cette école privée met également en avant la dimension européenne. « Chaque pays a ses particularités dans les normes, les budgets et les techniques. Le but de cette formation européenne est la libre-circulation des entreprises et des personnes en Europe », a expliqué Carlos Agell, de l'institut Gaudi de Barcelone.
« La formation et la qualification sont aussi un moyen de lutter contre la précarisation sociale à l'échelle européenne », a rappelé Laurent Cathala, maire de Créteil.
« Face aux difficultés de recrutement dans les métiers du bâtiment, cette université permet une valorisation auprès des jeunes de nos métiers et offre une réponse adaptée aux besoins des entreprises », a indiqué Michel Sénéchal, président de l'université et du Groupement des professionnels européens de la peinture et de la finition (GPPF).
Cette école privée met également en avant la dimension européenne. « Chaque pays a ses particularités dans les normes, les budgets et les techniques. Le but de cette formation européenne est la libre-circulation des entreprises et des personnes en Europe », a expliqué Carlos Agell, de l'institut Gaudi de Barcelone.
« La formation et la qualification sont aussi un moyen de lutter contre la précarisation sociale à l'échelle européenne », a rappelé Laurent Cathala, maire de Créteil.
