Dans le cadre la présentation dune nouvelle offre pour les primo-accédants, le Crédit Foncier a constaté mardi que le nombre de personnes devenues propriétaires d'un logement pour la première fois n'a cessé de progresser depuis 2000, notamment en raison de facteurs sociologiques identifiés dans létude : «Demande de logement : la réalité du choc sociologique».
Selon létude «Demande de logement : la réalité du choc sociologique», réalisée par lUniversité Paris-Dauphine pour le Crédit Foncier, en novembre 2006, «léclatement de la cellule familiale génère une demande de petits logements et laugmentation du nombre de retraités qui peuvent opter pour une double résidence».
Ainsi, en France, le goût de la pierre a progressé régulièrement : la part des propriétaires est passée de 37% en 1950 à 57% en 2005.
Selon le Crédit Foncier, entre 2000 et 2005, le nombre de primo-accédants a augmenté de 31%, passant de 363.900 à 475.800, alors que le nombre de autres accédants a légèrement reculé, de 305.034 en 2000 à 287.100 en 2005. Pourtant, dans le même temps, le pouvoir d'achat des primo-accédants s'est effrité en raison de la hausse des prix de l'immobilier. Ainsi, dans l'ancien, un ménage primo-accédant pouvait acheter en moyenne 48,8 mètres carrés en 2006, contre 59 en 2000, soit une baisse de 17% du pouvoir d'achat, selon l'indicateur Crédit Foncier-Essec.
De plus en plus de jeunes se tournent vers la pierre
Les jeunes, de 18 à 35 ans, poussés par la hausse significative des loyers «sont de plus en plus nombreux à se tourner vers la pierre», de plus en plus «synonyme de sécurité face (...) à la précarité de l'emploi», précise le Crédit Foncier. Cette accession à la propriété a été facilitée par les réponses des pouvoirs publics face à la hausse des prix, notamment la réforme du prêt à taux zéro et les nouvelles modalités d'acquisition immobilière, comme le Pass-Foncier, souligne la filiale du groupe Caisse d'Epargne.
Dans sa nouvelle offre «Foncier J» dédiée aux jeunes primo-accédants, le Crédit Foncier a identifié différents types de besoins en fonction de leur âge et de leurs revenus. Ainsi, entre 18 et 30 ans, ils sont plutôt célibataires et urbains, en début de carrière, et recherchent «des petites surfaces dans l'ancien», première étape dans leur vie. Entre 30 et 35 ans, installés dans une situation professionnelle plus stable, souvent en couples et plutôt périurbains, ils recherchent plutôt un logement familial (neuf ou ancien) dans une perspective de long terme. La durée moyenne d'un prêt immobilier est aujourd'hui de 20 ans, contre 16 ans en 2000, et plus de la moitié des prêts accordés par le Crédit Foncier ont une durée de plus de 25 ans, selon la banque.
Ainsi, en France, le goût de la pierre a progressé régulièrement : la part des propriétaires est passée de 37% en 1950 à 57% en 2005.
Selon le Crédit Foncier, entre 2000 et 2005, le nombre de primo-accédants a augmenté de 31%, passant de 363.900 à 475.800, alors que le nombre de autres accédants a légèrement reculé, de 305.034 en 2000 à 287.100 en 2005. Pourtant, dans le même temps, le pouvoir d'achat des primo-accédants s'est effrité en raison de la hausse des prix de l'immobilier. Ainsi, dans l'ancien, un ménage primo-accédant pouvait acheter en moyenne 48,8 mètres carrés en 2006, contre 59 en 2000, soit une baisse de 17% du pouvoir d'achat, selon l'indicateur Crédit Foncier-Essec.
De plus en plus de jeunes se tournent vers la pierre
Les jeunes, de 18 à 35 ans, poussés par la hausse significative des loyers «sont de plus en plus nombreux à se tourner vers la pierre», de plus en plus «synonyme de sécurité face (...) à la précarité de l'emploi», précise le Crédit Foncier. Cette accession à la propriété a été facilitée par les réponses des pouvoirs publics face à la hausse des prix, notamment la réforme du prêt à taux zéro et les nouvelles modalités d'acquisition immobilière, comme le Pass-Foncier, souligne la filiale du groupe Caisse d'Epargne.
Dans sa nouvelle offre «Foncier J» dédiée aux jeunes primo-accédants, le Crédit Foncier a identifié différents types de besoins en fonction de leur âge et de leurs revenus. Ainsi, entre 18 et 30 ans, ils sont plutôt célibataires et urbains, en début de carrière, et recherchent «des petites surfaces dans l'ancien», première étape dans leur vie. Entre 30 et 35 ans, installés dans une situation professionnelle plus stable, souvent en couples et plutôt périurbains, ils recherchent plutôt un logement familial (neuf ou ancien) dans une perspective de long terme. La durée moyenne d'un prêt immobilier est aujourd'hui de 20 ans, contre 16 ans en 2000, et plus de la moitié des prêts accordés par le Crédit Foncier ont une durée de plus de 25 ans, selon la banque.