Selon une étude du groupe immobilier Daniel Féau, les beaux quartiers de Paris séduisent toujours autant les acquéreurs étrangers. Toutefois, les hôtels particuliers et les appartements contemporains de luxe sont des biens rares. Détail de l’étude.
Des appartements modernes et luxueux, des hôtels particuliers, des maisons avec jardin… l’immobilier de prestige fait rêver.
Ainsi, les agences Daniel Féau et Belles demeures de France ont enregistré une augmentation des transactions comprises entre 1 et 2 millions d’euros de 50%, une progression de 80% pour les transactions comprises entre 2 et 4 millions d’euros et une hausse de 450% pour les transactions de plus de 4 millions d’euros.
Des prix «orientés à la hausse»
Ces bons résultats sont suivis par des prix «orientés à la hausse», souligne un communiqué du groupe. Cette tendance s’explique entre autres par le poids conséquent d’«un marché international» et par «une augmentation constante du nombre de milliardaire dans le monde». Ce sont donc les acquéreurs étrangers qui font évoluer les prix mais les Français ne sont pas en reste. L’étude souligne même que certains expatriés reviennent à Paris pour acquérir une résidence secondaire. Autre constat : les acheteurs sont plus jeunes qu’auparavant. D’où une demande de biens modernes et contemporains.
L’étude met également en avant une problématique récurrente : celle de la pénurie de logements de prestige. En effet, la réglementation actuelle «rend très difficile la construction à titre professionnel d’appartements de luxe à Paris». Du coup, l’offre est inférieure à la demande.
Les capitales mondiales
Enfin l’étude observe que «Paris reste relativement bon marché par rapport à beaucoup de capitales». Du côté, des grandes destinations mondiales de prestige, New-York, Beverly-Hills, Londres, Monaco, Genève, tiennent toujours le haut de l’affiche. Parmi les nouveaux venus, on peut citer Moscou, Saint-Pétersbourg, Delhi ou encore Shanghai.
Ainsi, les agences Daniel Féau et Belles demeures de France ont enregistré une augmentation des transactions comprises entre 1 et 2 millions d’euros de 50%, une progression de 80% pour les transactions comprises entre 2 et 4 millions d’euros et une hausse de 450% pour les transactions de plus de 4 millions d’euros.
Des prix «orientés à la hausse»
Ces bons résultats sont suivis par des prix «orientés à la hausse», souligne un communiqué du groupe. Cette tendance s’explique entre autres par le poids conséquent d’«un marché international» et par «une augmentation constante du nombre de milliardaire dans le monde». Ce sont donc les acquéreurs étrangers qui font évoluer les prix mais les Français ne sont pas en reste. L’étude souligne même que certains expatriés reviennent à Paris pour acquérir une résidence secondaire. Autre constat : les acheteurs sont plus jeunes qu’auparavant. D’où une demande de biens modernes et contemporains.
L’étude met également en avant une problématique récurrente : celle de la pénurie de logements de prestige. En effet, la réglementation actuelle «rend très difficile la construction à titre professionnel d’appartements de luxe à Paris». Du coup, l’offre est inférieure à la demande.
Les capitales mondiales
Enfin l’étude observe que «Paris reste relativement bon marché par rapport à beaucoup de capitales». Du côté, des grandes destinations mondiales de prestige, New-York, Beverly-Hills, Londres, Monaco, Genève, tiennent toujours le haut de l’affiche. Parmi les nouveaux venus, on peut citer Moscou, Saint-Pétersbourg, Delhi ou encore Shanghai.
