Dans son observatoire présenté mardi, la Fnaim a indiqué que le marché de l'immobilier à Paris et en Ile-de-France est «encore en train de se tendre», ce qui pourrait entraîner à moyen terme une nouvelle hausse des prix.
La fédération immobilière a estimé mardi dans son observatoire que «les prix sont à peu près stabilisés» à Paris et en Ile-de-France, mais qu'«il n'est toujours pas question de baisse».
La Fnaim craint au contraire une nouvelle forte hausse des prix de vente. La raison : «la structure du marché qui se caractérise par une pénurie marquée de biens et une demande toujours importante», a estimé Jean-Hervé Ruellan, de la Fnaim Paris-Ile-de-France.
Ainsi, à Paris, la hausse se poursuit avec une augmentation comprise entre 2 et 5% entre le premier et le deuxième semestre 2006 suivant les quartiers concernés, contre 0% à 5% au semestre précédent.
L'Ile-de-France observe de son côté une stabilisation des prix, notamment dans certaines banlieues où ils avaient flambé. Selon les chiffres de l'Observatoire, le deuxième semestre 2006 se caractérise par une forte baisse au niveau du nombre de mises en ventes de logements qui passe d'un indice de 66 en 2005 à 58 en Ile-de-France et de 60,5 à 54,5 à Paris (par rapport à un indice 100 en 1999).
Enfin, la Fnaim note une «légère augmentation» des délais de transaction, passant de 53 à 55 jours en glissement semestriel, mais «cet allongement reste peu significatif».
La Fnaim craint au contraire une nouvelle forte hausse des prix de vente. La raison : «la structure du marché qui se caractérise par une pénurie marquée de biens et une demande toujours importante», a estimé Jean-Hervé Ruellan, de la Fnaim Paris-Ile-de-France.
Ainsi, à Paris, la hausse se poursuit avec une augmentation comprise entre 2 et 5% entre le premier et le deuxième semestre 2006 suivant les quartiers concernés, contre 0% à 5% au semestre précédent.
L'Ile-de-France observe de son côté une stabilisation des prix, notamment dans certaines banlieues où ils avaient flambé. Selon les chiffres de l'Observatoire, le deuxième semestre 2006 se caractérise par une forte baisse au niveau du nombre de mises en ventes de logements qui passe d'un indice de 66 en 2005 à 58 en Ile-de-France et de 60,5 à 54,5 à Paris (par rapport à un indice 100 en 1999).
Enfin, la Fnaim note une «légère augmentation» des délais de transaction, passant de 53 à 55 jours en glissement semestriel, mais «cet allongement reste peu significatif».