Les performances exceptionnelles de juin et juillet annoncent un repli pour les prochains mois. La remontée des taux devrait être compensée par une reprise de l'activité économique.
Dopés par des taux d'emprunt historiquement bas, les reventes de logements neufs (6,12 millions d'unité en juillet) et les ventes de logements (1,2 et 1,165 millions d'unités en juin et juillet)ont atteint des chiffres inédits. Les mises en chantiers sont à leur plus haut niveau depuis 17 ans.
Après deux années d'expansion, le marché américain connaît donc une accélération qui marque peut-être la fin dun cycle.
Le début de la remontée des taux, après un plancher historique à 5,21% en juin, a provoqué une ruée sur l'immobilier cet été malgré une augmentation du prix médian pour un logement de 12% entre juillet 2002 et juillet 2003.
Les analystes s'accordent pour dire que la tendance ne se poursuivra probablement pas et que le rythme des ventes baissera fortement à partir de septembre. Un effondrement est néanmoins à exclure, les taux restant faibles, et leur remontée devant signaler le début d'une reprise économique plus large susceptible de soutenir le marché à son tour.
Après deux années d'expansion, le marché américain connaît donc une accélération qui marque peut-être la fin dun cycle.
Le début de la remontée des taux, après un plancher historique à 5,21% en juin, a provoqué une ruée sur l'immobilier cet été malgré une augmentation du prix médian pour un logement de 12% entre juillet 2002 et juillet 2003.
Les analystes s'accordent pour dire que la tendance ne se poursuivra probablement pas et que le rythme des ventes baissera fortement à partir de septembre. Un effondrement est néanmoins à exclure, les taux restant faibles, et leur remontée devant signaler le début d'une reprise économique plus large susceptible de soutenir le marché à son tour.