Selon une enquête du ministère japonais de la Construction, des Transports et de l'Aménagement du territoire, 16 grands immeubles de Tokyo risquent de s'écrouler en cas de tremblement de terre, même modéré. L'architecte, pour réduire les coûts de construction, a rehaussé les données sur leur résistance parasismique.
Les systèmes antisismiques efficaces étant particulièrement onéreux au Japon, l'architecte Hidetsugu Aneha a sciemment équipé ses immeubles de systèmes antisismiques moins efficaces que la norme, dans le but de réduire les coûts de construction.
Certains des bâtiments en cause, dont un hôtel et des résidences, pourraient sombrer sous les assauts d'une secousse tellurique de degré "5+" sur l'échelle sismique japonaise qui en compte dix. A ce niveau d'intensité, qui n'est pas exceptionnel à Tokyo, les objets bougent et tombent, mais les humains peuvent encore tenir debout et les constructions aux normes parasismiques résistent.
Le ministère de la Construction, des Transports et de l'Aménagement du territoire a décidé d'engager des poursuites pénales contre l'architecte pour violation des normes de construction, qui incluent des obligations pour minimiser les dégâts et pertes humaines lors des tremblements de terre et typhons.
Certains des bâtiments en cause, dont un hôtel et des résidences, pourraient sombrer sous les assauts d'une secousse tellurique de degré "5+" sur l'échelle sismique japonaise qui en compte dix. A ce niveau d'intensité, qui n'est pas exceptionnel à Tokyo, les objets bougent et tombent, mais les humains peuvent encore tenir debout et les constructions aux normes parasismiques résistent.
Le ministère de la Construction, des Transports et de l'Aménagement du territoire a décidé d'engager des poursuites pénales contre l'architecte pour violation des normes de construction, qui incluent des obligations pour minimiser les dégâts et pertes humaines lors des tremblements de terre et typhons.