La société immobilière Icade pourrait céder son pôle logement locatif, soit environ 35.000 logements. Cette transaction a pour objectif «d'alléger la société foncière d'actifs à faibles rendements pour aller vers des rendements plus attractifs dans le tertiaire».
La société immobilière Icade pourrait «explorer la cession de l'ensemble du pôle logement à un ou plusieurs investisseurs, notamment sociaux, sur la base des valeurs d'expertise», a déclaré, Serge Grzybowski, le Pdg d'Icade.
Cette cession touche environ 35.000 logements locatifs, la plupart se trouvant dans la première couronne de la banlieue parisienne.
Cette opération, qui pourrait intervenir rapidement, a pour but «d'alléger la société foncière d'actifs à faibles rendements pour aller vers des rendements plus attractifs dans le tertiaire comme des bureaux, des centres commerciaux ou des murs de cliniques». Le Pdg du groupe a également souligné que «disposer de liquidités au moment du retournement du cycle immobilier est le nerf de la guerre». Serge Grzybowski a précisé à l'AFP qu'il entendait que cette opération «soit dénouée avant la fin de l'année 2009». La somme que pourrait atteindre la transaction n'a pas été dévoilée. Selon un article du quotidien La Tribune publié en juin, l'opération pourrait monter à 3 milliards d'euros.
Cette cession touche environ 35.000 logements locatifs, la plupart se trouvant dans la première couronne de la banlieue parisienne.
Cette opération, qui pourrait intervenir rapidement, a pour but «d'alléger la société foncière d'actifs à faibles rendements pour aller vers des rendements plus attractifs dans le tertiaire comme des bureaux, des centres commerciaux ou des murs de cliniques». Le Pdg du groupe a également souligné que «disposer de liquidités au moment du retournement du cycle immobilier est le nerf de la guerre». Serge Grzybowski a précisé à l'AFP qu'il entendait que cette opération «soit dénouée avant la fin de l'année 2009». La somme que pourrait atteindre la transaction n'a pas été dévoilée. Selon un article du quotidien La Tribune publié en juin, l'opération pourrait monter à 3 milliards d'euros.
