Une restauration patrimoniale qui a tout de même amené les équipes à réfléchir à la mise en oeuvre, c'est-à-dire la tenue des briques pour le briquetage de la voûte. Décision a donc été prise de tracer les déformations des arêtes afin de créer une structure de pose. La technique du poussage sur place est en revanche plus récente, datant approximativement des XVIIe-XVIIIe siècles. "Elle est enseignée depuis des millénaires par le compagnonnage, et nos compagnons qui ont oeuvré pour cette réfection sont issus du compagnonnage", précisent les responsables de La Gypserie.
Maine-et-Loire : la voûte en briques d'une sacristie connaît une seconde jeunesse
C.P., le 07/09/2023 à 13:14