Le groupe allemand de matériaux de construction Heidelberger Zement n'exclut pas des coupes supplémentaires en 2002 en raison de la conjoncture difficile dans le BTP.
Le groupe, qui emploie 36.000 personnes dans le monde, a également averti qu'il ne serait pas en mesure de tenir ses objectifs de résultats pour cette année.
"Il ne sera pas possible d'atteindre le résultat opérationnel de l'année dernière" compte tenu de coûts de restructuration non prévus à l'origine, des prix élevés de l'énergie jusqu'au début de l'automne et "d'une réduction du taux d'utilisation des capacités" en Allemagne et en Europe occidentale, a-t-il expliqué dans un communiqué.
"Nous pensons que les bénéfices pour l'année fiscale seront nettement en dessous du niveau de l'année dernière", a-t-il ajouté.
En conséquence, Heidelberger Zement a décidé d'engager un plan de restructuration prévoyant "la fermeture ou le rapprochement de certains sites de production", la recherche d'"alliances stratégiques" permettant des synergies et une cure d'amaigrissement dans ses services administratifs.
Ces mesures rendent "malheureusement inévitable" la suppression de 500 emplois en Allemagne d'ici la fin de l'année, a indiqué le groupe.
En outre, "s'il n'y a pas de changement dans la conjoncture économique l'an prochain, il y a aura des suppressions d'emplois supplémentaires", a prévenu le président du directoire du groupe, Hans Bauer, lors d'une téléconférence de presse. Si elle s'avèrent nécessaires, ces coupes ne seront cependant pas aussi importantes que celles décidées pour 2001, a-t-il ajouté.
Heidelberger Zement s'est refusé à faire un pronostic de résultat pour 2002, préférant attendre de voir comment la conjoncture économique mondiale et la situation politique évoluent.
Au troisième trimestre, le groupe a annoncé avoir enregistré une baisse sur un an de 27% de son bénéfice net à 126,1 M EUR. Son chiffre d'affaires a également diminué de 1,6% à 1,86 md EUR.
"Il ne sera pas possible d'atteindre le résultat opérationnel de l'année dernière" compte tenu de coûts de restructuration non prévus à l'origine, des prix élevés de l'énergie jusqu'au début de l'automne et "d'une réduction du taux d'utilisation des capacités" en Allemagne et en Europe occidentale, a-t-il expliqué dans un communiqué.
"Nous pensons que les bénéfices pour l'année fiscale seront nettement en dessous du niveau de l'année dernière", a-t-il ajouté.
En conséquence, Heidelberger Zement a décidé d'engager un plan de restructuration prévoyant "la fermeture ou le rapprochement de certains sites de production", la recherche d'"alliances stratégiques" permettant des synergies et une cure d'amaigrissement dans ses services administratifs.
Ces mesures rendent "malheureusement inévitable" la suppression de 500 emplois en Allemagne d'ici la fin de l'année, a indiqué le groupe.
En outre, "s'il n'y a pas de changement dans la conjoncture économique l'an prochain, il y a aura des suppressions d'emplois supplémentaires", a prévenu le président du directoire du groupe, Hans Bauer, lors d'une téléconférence de presse. Si elle s'avèrent nécessaires, ces coupes ne seront cependant pas aussi importantes que celles décidées pour 2001, a-t-il ajouté.
Heidelberger Zement s'est refusé à faire un pronostic de résultat pour 2002, préférant attendre de voir comment la conjoncture économique mondiale et la situation politique évoluent.
Au troisième trimestre, le groupe a annoncé avoir enregistré une baisse sur un an de 27% de son bénéfice net à 126,1 M EUR. Son chiffre d'affaires a également diminué de 1,6% à 1,86 md EUR.