Selon une étude publiée mercredi par le Conseil supérieur du Notariat et le conseil en immobilier Ad Valorem, les ventes d'appartements occupés ont représenté 8,7% de toutes les ventes en France en 2005, un chiffre en forte augmentation depuis la reprise du marché immobilier.
Sur l'ensemble du territoire, les prix de biens immobiliers occupés ont augmenté de 70%, entre 1998 et 2004.
Selon létude publiée mercredi, 9,8% des appartements vendus en province en 2005 étaient occupés, contre 4,7% en 1998. A Paris, ce chiffre est passé de 3,6% en 1998 à 6,8% en 2005. Ces ventes d'appartements occupés, qui sont essentiellement le fait de particuliers, ont été particulièrement dynamiques à Toulouse, Bordeaux et Strasbourg, où elles représentent plus de 15% des transactions.
Concernant les maisons vendues occupées, le marché est très marginal, «les investisseurs préfèrent les appartements, tant en province qu'en Ile-de-France». En 2005, environ 37.000 biens immobiliers occupés, appartements et maisons, ont été vendus, soit 5,3% du total des transactions. Les décotes (différences de prix entre un bien vide et un bien occupé) ont évolué à la hausse, permettant de baisser sensiblement le montant de la vente en un temps où les prix de l'immobilier ont explosé.
Entre le prix d'un appartement libre et celui d'un appartement occupé, la décote qui était de 17% en 1998 atteint 20% en 2005 pour la province. En Ile-de-France, elles sont plus faibles, passant de 8 à 12%.
Pour les maisons en province, les décotes peuvent dépasser 32% en 2005, ce qui s'explique par les achats de ces biens par les occupants qui deviennent propriétaires. Le prix moyen au m2 dans les appartements anciens en province pour ces ventes est de 1.622 euros/m2, à comparer avec un prix moyen de 2.033 euros/m2 pour le même bien vendu libre, soit une décote de 20,2%.
Pour les maisons en province, le prix moyen est de 111.030 euros pour un bien occupé contre 164.735 euros pour une maison libre, soit une décote de 32,6%. Sur l'ensemble du territoire, les prix de biens immobiliers occupés ont augmenté de 70%, entre 1998 et 2004.
Selon létude publiée mercredi, 9,8% des appartements vendus en province en 2005 étaient occupés, contre 4,7% en 1998. A Paris, ce chiffre est passé de 3,6% en 1998 à 6,8% en 2005. Ces ventes d'appartements occupés, qui sont essentiellement le fait de particuliers, ont été particulièrement dynamiques à Toulouse, Bordeaux et Strasbourg, où elles représentent plus de 15% des transactions.
Concernant les maisons vendues occupées, le marché est très marginal, «les investisseurs préfèrent les appartements, tant en province qu'en Ile-de-France». En 2005, environ 37.000 biens immobiliers occupés, appartements et maisons, ont été vendus, soit 5,3% du total des transactions. Les décotes (différences de prix entre un bien vide et un bien occupé) ont évolué à la hausse, permettant de baisser sensiblement le montant de la vente en un temps où les prix de l'immobilier ont explosé.
Entre le prix d'un appartement libre et celui d'un appartement occupé, la décote qui était de 17% en 1998 atteint 20% en 2005 pour la province. En Ile-de-France, elles sont plus faibles, passant de 8 à 12%.
Pour les maisons en province, les décotes peuvent dépasser 32% en 2005, ce qui s'explique par les achats de ces biens par les occupants qui deviennent propriétaires. Le prix moyen au m2 dans les appartements anciens en province pour ces ventes est de 1.622 euros/m2, à comparer avec un prix moyen de 2.033 euros/m2 pour le même bien vendu libre, soit une décote de 20,2%.
Pour les maisons en province, le prix moyen est de 111.030 euros pour un bien occupé contre 164.735 euros pour une maison libre, soit une décote de 32,6%. Sur l'ensemble du territoire, les prix de biens immobiliers occupés ont augmenté de 70%, entre 1998 et 2004.