Selon lindice trimestriel Insee/Notaires publié mardi, les prix de l'immobilier en France, ancien et neuf confondus, ont connu un ralentissement en France au second trimestre 2006 avec une progression de +12,6%, après une hausse de +14,8% au premier trimestre.
En un peu moins de 6 ans, depuis le 4e trimestre 2000, les prix ont augmenté de +87%, précise l'Insee.
«Alors qu'à la fin des années 1980, la hausse des prix était due pour l'essentiel à ceux pratiqués en Ile-de-France et sur la Côte d'Azur, aujourd'hui, la hausse est répartie sur tout le territoire», a précisé Alain Jacquot de la division logement de l'Insee. Et, «avec une hausse qui dépasse toujours 12%, le rythme de croissance des prix reste élevé», a-t-il ajouté en rappelant quand même qu'ils avaient atteint un pic de +16% au 4è trimestre 2004.
Stabilité des prix en Ile-de-France
En Ile-de-France, les prix de l'immobilier à Paris se sont stabilisés au 2e trimestre 2006, avec une hausse de +12,5% en rythme annuel contre +13,7% un trimestre plus tôt, a indiqué mardi la Chambre de Notaires dans sa note de conjoncture trimestrielle.
Ce «ralentissement de la hausse, d'un trimestre à l'autre est moins marqué à Paris (+2,2%) qu'en banlieue (+1,6% dans la grande couronne, et +2,8% autour de la capitale)», précisent les notaires de Paris et d'Ile-de-France.
Dans le même temps, avec 61.428 ventes, tous biens immobiliers confondus, contre 63.177 un an plus tôt, le volume des ventes a enregistré un fléchissement de -2,8% au deuxième trimestre 2006, mais ce chiffre vient à la suite d'une très forte progression des ventes au premier trimestre de +6,3%, selon la note des notaires. Ce recul du nombre de transactions est variable d'une zone géographique à l'autre : significatif à Paris intra-muros avec -6,6%, sensible en grande couronne avec -2,5% et ténu en petite couronne avec -0,5%. En outre, l'écart des prix entre le neuf et l'ancien n'a cessé de se réduire depuis 1996, notent les notaires, «cette évolution est une illustration de la pénurie de l'offre de logements consécutive à l'insuffisante alimentation du marché en constructions neuves».
«Alors qu'à la fin des années 1980, la hausse des prix était due pour l'essentiel à ceux pratiqués en Ile-de-France et sur la Côte d'Azur, aujourd'hui, la hausse est répartie sur tout le territoire», a précisé Alain Jacquot de la division logement de l'Insee. Et, «avec une hausse qui dépasse toujours 12%, le rythme de croissance des prix reste élevé», a-t-il ajouté en rappelant quand même qu'ils avaient atteint un pic de +16% au 4è trimestre 2004.
Stabilité des prix en Ile-de-France
En Ile-de-France, les prix de l'immobilier à Paris se sont stabilisés au 2e trimestre 2006, avec une hausse de +12,5% en rythme annuel contre +13,7% un trimestre plus tôt, a indiqué mardi la Chambre de Notaires dans sa note de conjoncture trimestrielle.
Ce «ralentissement de la hausse, d'un trimestre à l'autre est moins marqué à Paris (+2,2%) qu'en banlieue (+1,6% dans la grande couronne, et +2,8% autour de la capitale)», précisent les notaires de Paris et d'Ile-de-France.
Dans le même temps, avec 61.428 ventes, tous biens immobiliers confondus, contre 63.177 un an plus tôt, le volume des ventes a enregistré un fléchissement de -2,8% au deuxième trimestre 2006, mais ce chiffre vient à la suite d'une très forte progression des ventes au premier trimestre de +6,3%, selon la note des notaires. Ce recul du nombre de transactions est variable d'une zone géographique à l'autre : significatif à Paris intra-muros avec -6,6%, sensible en grande couronne avec -2,5% et ténu en petite couronne avec -0,5%. En outre, l'écart des prix entre le neuf et l'ancien n'a cessé de se réduire depuis 1996, notent les notaires, «cette évolution est une illustration de la pénurie de l'offre de logements consécutive à l'insuffisante alimentation du marché en constructions neuves».