Au premier trimestre 2005, les prix de limmobilier en Ile-de-France ont progressé de 14,5%, contre 12,4% sur la même période un an plus tôt. Les notaires font état mardi des «premiers refus de prêts» par les banques aux ménages franciliens.
A Paris, le prix moyen au mètre carré sélève désormais à 4.745 , selon les notaires franciliens. Au premier trimestre 2005, ce sont surtout les départements de la grande couronne (Val d'Oise, Essonne, Yvelines, Seine-et-Marne) qui enregistrent la plus forte hausse : 17,3% contre 14,9% au premier trimestre 2004.
Mais les prix de limmobilier dans les départements de la petite couronne (Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne et Hauts-de-Seine) grimpent également. Sur cette même période, ils augmentent en effet de 16,2%, contre 15,3% sur la même période un an plus tôt.
De lavis des notaires franciliens, si la progression des prix se poursuit sur le même rythme, cela «pourrait affaiblir la solvabilité des ménages et peser sur le volume de transaction», sans toutefois donner ni d'échéance, ni l'ampleur du phénomène. Et dajouter : «La solvabilité s'essouffle comme en témoignent les premiers refus de prêts que se voient opposer par les banques les ménages franciliens».
Dans le détail, comme ces derniers mois, ce sont les arrondissements parisiens les plus populaires qui enregistrent les plus fortes augmentations. Ainsi, le Xème arrondissement a vu les prix grimper de 22,8%, le XVIIIeme arrondissement de 22,5% et le XIXeme de 20,5% au premier trimestre sur un an.
A noter par ailleurs que les villes d'Aulnay-sous-Bois et de Garges-les-Gonesse ont connu des hausses marquées sur les trois premiers mois de l'année, de respectivement 47,1% et 41,1%.
En volume, l'activité est restée stable au premier trimestre (+0,2%), la hausse à Paris compensant les baisses d'activité en petite et grande couronne.
Des tendances à la hausse qui amplifient le phénomène de migration des Parisiens vers lOuest et le Sud.
Mais les prix de limmobilier dans les départements de la petite couronne (Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne et Hauts-de-Seine) grimpent également. Sur cette même période, ils augmentent en effet de 16,2%, contre 15,3% sur la même période un an plus tôt.
De lavis des notaires franciliens, si la progression des prix se poursuit sur le même rythme, cela «pourrait affaiblir la solvabilité des ménages et peser sur le volume de transaction», sans toutefois donner ni d'échéance, ni l'ampleur du phénomène. Et dajouter : «La solvabilité s'essouffle comme en témoignent les premiers refus de prêts que se voient opposer par les banques les ménages franciliens».
Dans le détail, comme ces derniers mois, ce sont les arrondissements parisiens les plus populaires qui enregistrent les plus fortes augmentations. Ainsi, le Xème arrondissement a vu les prix grimper de 22,8%, le XVIIIeme arrondissement de 22,5% et le XIXeme de 20,5% au premier trimestre sur un an.
A noter par ailleurs que les villes d'Aulnay-sous-Bois et de Garges-les-Gonesse ont connu des hausses marquées sur les trois premiers mois de l'année, de respectivement 47,1% et 41,1%.
En volume, l'activité est restée stable au premier trimestre (+0,2%), la hausse à Paris compensant les baisses d'activité en petite et grande couronne.
Des tendances à la hausse qui amplifient le phénomène de migration des Parisiens vers lOuest et le Sud.