Le ministre délégué à lEmploi, Gérard Larcher, et le ministre des Transports et de lEquipement, Dominique Perben, ont présenté mardi la «charte des bonnes pratiques du BTP». Un document qui vise à lutter contre le travail illégal.
Inscrite dans la campagne de prévention sur contre le travail illégal menée par le gouvernement, cette charte réactualise linformation juridique des entrepreneurs et de leurs maîtres douvrages sur les risques encourus et partagés en cas dinfraction commise par un sous-traitant français ou un prestataire étranger. Et cible principalement les maître douvrage, les donneurs dordre et les sous traitants du secteur du BTP.
Sept organisations professionnelle du BTP, avec le concours de la DILTI (Délégation interministérielle de lutte contre le travail illégal)ont participé à son élaboration.
Rappelons que le 18 juin 2004, le ministre de la Cohésion sociale, Jean-Louis Borloo, avait déclaré une «guerre impitoyable» au travail illégal en présentant un plan national de lutte (2004-2005) contre un «fléau» qui coûte 55 milliards d'euros à l'Etat et représente un tiers du déficit de la Sécurité sociale.
Depuis, de nombreuses dispositions ont été prises, l'Office central de lutte contre le travail illégal a été créé et de multiples «opérations coup de poing»ont été menées dans les départements, particulièrement dans les secteurs «sensibles» comme les hôtels-cafés-restaurants, l'agriculture, le spectacle et le BTP.
Sept organisations professionnelle du BTP, avec le concours de la DILTI (Délégation interministérielle de lutte contre le travail illégal)ont participé à son élaboration.
Rappelons que le 18 juin 2004, le ministre de la Cohésion sociale, Jean-Louis Borloo, avait déclaré une «guerre impitoyable» au travail illégal en présentant un plan national de lutte (2004-2005) contre un «fléau» qui coûte 55 milliards d'euros à l'Etat et représente un tiers du déficit de la Sécurité sociale.
Depuis, de nombreuses dispositions ont été prises, l'Office central de lutte contre le travail illégal a été créé et de multiples «opérations coup de poing»ont été menées dans les départements, particulièrement dans les secteurs «sensibles» comme les hôtels-cafés-restaurants, l'agriculture, le spectacle et le BTP.