Le groupe de construction français devrait supprimer dès la fin du mois près de 60 emplois sur un total de 320. Il admet une " baisse d'activité ".
Le groupe de construction, spécialisé dans l'événementiel, la couverture de piscine et l'architecture contemporaine, s'est fait un nom dans les domaines de la charpente métallique et de la membrane synthétique. Il est également en train de s'en faire un dans celui du licenciement.
Avec la suppression de 54 à 59 emplois, sur un total de 320, c'est plus de 16% des employés qui sont remerciés. De 15 à 20 suppressions de postes sont prévues dans la filiale Voileries du Sud-Ouest, à Artigues-près-Brdeaux. 39 licenciement seront prononcés au sièges, à Brumath dans le Bas-Rhin, " fin janvier ou au plus tard courant février ", précise Denis Walter, le président du groupe.
En 2002, Walter, coté au Second Marché à la Bourse de Paris, avait déjà supprimé tous ses postes d'intérimaires. La " transformation du métier " de Walter explique cette nouvelle restructuration, selon son président. " Notre activité comprend une part croissante de négoce, générateur de moindres marges ", a-t-il ainsi expliqué.
Denis Walter a cependant admis une " baisse d'activité " et l'insuffisance du carnet de commande a été confirmée par Mario Sinassamy, délégué CFTC à Brumath. L'exercice 2002, clos au 31 décembre, sera déficitaire alors que le groupe avait publié un chiffre d'affaires d'environ 43 millions d'euros pour 2002, contre 49,2 millions pour 2001.
Avec la suppression de 54 à 59 emplois, sur un total de 320, c'est plus de 16% des employés qui sont remerciés. De 15 à 20 suppressions de postes sont prévues dans la filiale Voileries du Sud-Ouest, à Artigues-près-Brdeaux. 39 licenciement seront prononcés au sièges, à Brumath dans le Bas-Rhin, " fin janvier ou au plus tard courant février ", précise Denis Walter, le président du groupe.
En 2002, Walter, coté au Second Marché à la Bourse de Paris, avait déjà supprimé tous ses postes d'intérimaires. La " transformation du métier " de Walter explique cette nouvelle restructuration, selon son président. " Notre activité comprend une part croissante de négoce, générateur de moindres marges ", a-t-il ainsi expliqué.
Denis Walter a cependant admis une " baisse d'activité " et l'insuffisance du carnet de commande a été confirmée par Mario Sinassamy, délégué CFTC à Brumath. L'exercice 2002, clos au 31 décembre, sera déficitaire alors que le groupe avait publié un chiffre d'affaires d'environ 43 millions d'euros pour 2002, contre 49,2 millions pour 2001.