Le premier gestionnaire de logements sociaux français a prévu de construire 10% de HLM de plus en 2001, soit près de 2.300 logements. Il envisage également d'accélérer son programme de démolition-reconstruction, conformément aux souhaits de Marie-Noëlle Lienemann.
Le groupe 3F, premier gestionnaire de logements sociaux en France, prévoit de construire 10% de HLM de plus en 2001 par rapport à 2000, soit 2.200 à 2300 nouveaux logements.
Par ailleurs, Michel Ceyrac, président du groupe 3F, a estimé que la loi SRU ("solidarité et renouvellement urbain"), adoptée l'an dernier, a déjà eu des effets bénéfiques, en ayant "incontestablement modifié la psychologie des maires envers le logement social". Après des critiques exacerbées lors du vote, "les élus ont désormais modifié leur discours et leur attitude face au logement social a changé dans un sens positif", a-t-il affirmé.
M. Ceyrac a ajouté que les opérations de démolition reconstruction, un des axes prioritaires du ministère du Logement, sont également en progression dans son groupe.
Les fonds récemment promis par le gouvernement (500 MF en 2002 contre 270 MF en 2001) vont permettre d'accélérer les démolitions, mais ne compensent toujours pas les manques de recettes liées au départ des locataires, a-t-il jugé.
Le parc de 3F représente 123.000 logements sociaux (dont la plupart sont situés en région parisienne) et a réalisé un chiffre d'affaires de 4 milliards de francs en 2000.
Par ailleurs, Michel Ceyrac, président du groupe 3F, a estimé que la loi SRU ("solidarité et renouvellement urbain"), adoptée l'an dernier, a déjà eu des effets bénéfiques, en ayant "incontestablement modifié la psychologie des maires envers le logement social". Après des critiques exacerbées lors du vote, "les élus ont désormais modifié leur discours et leur attitude face au logement social a changé dans un sens positif", a-t-il affirmé.
M. Ceyrac a ajouté que les opérations de démolition reconstruction, un des axes prioritaires du ministère du Logement, sont également en progression dans son groupe.
Les fonds récemment promis par le gouvernement (500 MF en 2002 contre 270 MF en 2001) vont permettre d'accélérer les démolitions, mais ne compensent toujours pas les manques de recettes liées au départ des locataires, a-t-il jugé.
Le parc de 3F représente 123.000 logements sociaux (dont la plupart sont situés en région parisienne) et a réalisé un chiffre d'affaires de 4 milliards de francs en 2000.